«On accorda au mort un dernier désir. Celui de voir les deux faces du monde. Il poussa la porte et entra. On l’attendait, l’une dans le salon, l’autre dans la cuisine.»
à propos
Nous sommes des « hommes morts ».
Notre perception de la réalité est transformée par le prisme du média, est « distordue » par la distance, parfois éteinte par l’écœurement.
Nous ne sommes plus capables de comprendre et d’intégrer le jeu du monde, alors nous entrons dans une résignation contemplative.
Notre mémoire saturée de mille choses utiles et inutiles vacille et notre esprit critique n’est plus fonctionnel.
Nous ne percevons plus la violence liée à l’habitude du pouvoir, la violence entre les classes.
Et si nous étions vraiment morts ?
«On accorda au mort un dernier désir. Celui de voir les deux faces du monde. Il poussa la porte et entra. On l’attendait, l’une dans le salon, l’autre dans la cuisine.»
distribution
distribution
texte Yves Robert
jeu Christine Chalard et Magali Fouchault
Julien Moeschler (œil extérieur)
performance à la Galerie Ex-Machina Genève le 22 octobre 2011
menu théâtre, lectures et autres
- René Gori et l’amour derrière les clapotis
- l’essoufflement de l’ange – lecture spectacle
- le journal du silence – lecture spectacle
- mille nuits ou regarder les grenouilles nager – lecture
- la rivière à la mer – lecture spectacle
- Niobé, un matin – lecture spectacle
- deux frères – écritures croisées
- le lieutenant de guerre
- Thisbé et Pyrame
- mille nuits ou regarder les grenouilles nager
- l’étoile du nord
- dernière nouvelle de juillet
- patronne et domestique
- les Indes noires dans les mines d’asphalte
- Delphine et le rhinocéros
- patronne et domestique – performance
- à la dérobée
- l’incroyable ascension de Wilhelm Strassenbach
- la patronne dans son bocal
- le livre des tempêtes
- pauvres riches
- le livre des tempêtes
- Madame Bouh !
- la femme qui tenait un homme en laisse
- la mort de Vladimir