L’Atelier Grand Cargo s’associe à la fondation Auer Ory pour la photographie afin de présenter les travaux de Pascal Nordmann lors de deux expositions simultanées, l’une à Hermance, l’autre à La Chaux-de-Fonds.
Le Cargo présente sur son grand mur et durant l’année 2021 les travaux de trois artistes, soit Grégoire Müller, Maoro Frascotti et Rolf Blaser
Le principe est d’exposer et de mettre en évidence une œuvre ou une thématique unique
Maoro Frascotti présente une impressionnante et magnifique aquarelle
Le Cargo présente sur son grand mur et durant l’année 2021 les travaux de trois artistes, soit Grégoire Müller, Maoro Frascotti et Rolf Blaser
Le principe est d’exposer et de mettre en évidence une œuvre ou une thématique unique
Grégoire Müller présente un impressionnant et stupéfiant lutteur Sumo
J’ai rencontré Grégoire Müller cet été et nous sommes montés à son atelier, un étage, pas si haut, mais des fenêtres sur l’échancrure des arbres avec une lumière transversale qui arrachait les couleurs de la surface des toiles, balançait crûment la réalité d’un monde sans innocence et m’indiquait que tout art est politique.
Pierre traverse le monde, la vie et réalise un travail artistique avec ce qu’il faut de décalage pour obliger le regard des spectateurs à se porter hors des évidences.
Il occupe la position particulière de l’artiste
L’exposition est un parcours débutant à Gênes avec la mémoire de la grande manifestation de 2001, le chemin se poursuivant par les ateliers de mécanique, les étangs jurassiens et se perdant dans les ombres de la forêt du Risoud et de la Combe Grède.
Nécroscopie ou observer dans le cadavre des choses mortes. Au-delà de la qualité esthétique des photographies de Roberto Romano, j’ai été immédiatement interpellé par la résonance fantomatique de ces lieux morts capturés en images, cadavres modernes et témoins de notre époque : le temps des intendants.
Pour moi, Rolf Blaser n’est pas un homme à se laisser connaître dès les premières minutes. Certainement qu’il promène un monde bien à lui lorsqu’il traverse une rue, un jardin, une forêt ou le trottoir d’en face.Si je parle du trottoir d’en face, c’est que nous avons été voisins durant plus de vingt ans.
Les peintures présentées à l’occasion de cette exposition sont directement inspirées, non seulement par l’élégance des personnes composant la mosaïque d’ethnies vivant dans la vallée de l’Omo, située au sud-est de l’Ethiopie, mais aussi par leur destin tragique.
Un journal photographique sur une année… Une image par jour avec un téléphone portable, soit 365 images au fil de son quotidien, de ses déplacements, de ses envies ou… de son manque d’inspiration… du jour !