Catégorie : archives 2023

  • Manu Moser et Laurent Lecoultre

    Manu Moser et Laurent Lecoultre

    résidence du 10 au 14 février 2025 – Arts de la rue

    Notes d’intention

    À partir de textes contemporains, pour des petites jauges, de nuit, sur un coin de trottoir, sous un lampadaire, un texte/un comédien, l’envie de jouer n’importe quand, n’importe où, sans convocation du public, sans autorisation, sans avoir sécurisé la zone. Jouer dans les interstices des événements, culturels ou non.

    Les clochards disent ce qu’ils veulent, ils n’ont plus rien à perdre…

    Manu Moser et Laurent Lecoultre travaillent, entre autres, sur l’adaptation pour la rue du seul en scène – Mille nuits ou regarder les grenouilles nager – d’Yves Robert.

    à propos

    Mille nuits, ou regarder les grenouilles nager d’Yves Robert raconte l’histoire d’un homme qui attend depuis 999 nuits son amour dans la rue et qui parle de la ville, de la vie… une révélation ! Yves Robert est un auteur de théâtre suisse, il a eu plusieurs vies : techniscéniste (c’est comme ça qu’on appelle les régisseurs en Suisse), créateur lumière, metteur en scène… Il dirige un lieu, Le Grand Cargo à la Chaux-de-Fonds, dédié à l’écriture, au jeu et aux arts plastiques. Caché dans un quartier un peu abandonné, il se bat sans un sou pour aller rencontrer « d’autres publics » … Chacun de ses mots semble simple, accessible, mais à plusieurs, ils deviennent d’une poésie folle.

    Manu Moser

  • la mort de Vladimir – TPVH

    la mort de Vladimir – TPVH

    vendredi 22 décembre 2023 à la Salle Vert Paradis – Argelliers à 21h

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  • la mort de Vladimir – TPVH

    la mort de Vladimir – TPVH

    vendredi 15 décembre 2023 au Foyer rural de Vendémian à 20h30

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  • Manu Moser et Élima Héritier

    Manu Moser et Élima Héritier

    résidence du 13 au 15 décembre 2023 – Arts de la rue

    Parce que la météo de décembre est ce qu’elle est… le Cargo offre durant trois jours un havre à Manu Moser et Élima Héritier pour la préparation de l’un des trois monologue clandestins de la série : sauvageries théâtrales nocturnes

    Ça cause d’amour, d’humanité, avec empathie et simplicité.
    C’est direct, sans filtre, sans pudeur, sans vice et sans jugement.

    Sur un bout de trottoir, un humain, presque une ombre, parle.
    Le corps abandonné raconte et discourt.

    Et voici exposés, quelques morceaux de vie : amour, perdition, solitude, beauté, immigration, destruction, écologie, rêves et espoirs… Tout y passe.

    Les clochards disent ce qu’ils veulent, ils n’ont plus rien à perdre…

    en savoir plus…

  • Maoro, retour du Caire

    Maoro, retour du Caire

    du 6 novembre au 10 décembre 2023 – Atelier Grand Cargo – La Chaux-de-Fonds

  • Nora Rupp et Yann Bétant

    Nora Rupp et Yann Bétant

    résidence du 23 au 26 septembre 2023 – photographe et cinéaste

    biographie

    • Nora Rupp
      Nora Rupp (1981), vit et travaille à Lausanne en suisse. Elle a étudié la photographie à l’École d’Arts Appliqués de Vevey. Depuis plus de dix ans, Nora Rupp développe et expose divers projets photographiques.

    Depuis plus de 22 ans, j’explore l’autoportrait dans ma pratique photographique. J’utilise mon corps comme un outil pour me confronter à moi-même, à mes mécanismes, et questionner la condition des femmes dans notre société. Cette résidence est l’occasion pour moi d’explorer une nouvelle direction en questionner le regard que je porte sur mon propre corps de femme.

    • Yann Bétant
      Né en 1978 à Lausanne (Suisse). Formation à l’École de Théâtre Lassaad, Bruxelles. Formation comme réalisateur à l’IAD (Institut des Arts de Diffusion), Louvain-La-Neuve. Travaille en tant que cameraman, monteur, réalisateur, animateur et régisseur de théâtre à Lausanne

    Cette résidence est l’occasion de travailler l’écriture et le recherche d’une forme pour mon film « Lettre à mes filles », essai cinématographique autour des séparations dans ma famille, et les absences des pères ainsi que la nouvelle relation que je tisse avec mes filles suite à ma propre séparation.

    © Nora Rupp

  • Movimiento

    Movimiento

    résidence du 9 au 15 octobre 2023

    avec Jade Bärtschi, danseuse et Axel Fernandez, comédien

    MOVIMIENTO est une œuvre artistique d’émerveillement en cours de développement, conçue comme une maquette expérimentale en vue de sa version finale d’une heure.

    Cette performance pluridisciplinaire mêle poésie, danse et théâtre pour explorer les cycles et les mouvements perpétuels de la vie, tout en abordant des sujets aussi bien adaptés à un public avisé que populaire. En explorant les mécanismes de l’univers, le spectacle nous transporte dans les méandres de la perception, pour marier l’ordre et le chaos.

    Jade Bärtschi débute la danse en 2005 au Giant Studio à Neuchâtel et intègre la troupe à 7 ans. En 2011, elle intègre la compagnie de Jeune Talent de Résodanse Station, coaché par Maurizio Mandorino. Entre 2015 et 2018, participe à de nombreux stages intensifs
    à Londres, Le Havre et New York où elle apprend aux côtés de Seku Heru, Tony McGregor, Jana Hicks ou encore Max Stone. Touche à tout, elle maitrise des styles de danses urbaines et également académiques,
    notamment le contemporain. En 2018, elle intègre la prestigieuse école CobosMika Company en Espagne, qu’elle quitte prématurément à la suite d’un surentraînement. Pendant 4 ans, elle acquiert une conscience
    du corps et de l’esprit en développant ses connaissances en médecines alternatives et ancestrales, en philosophie et diverses sciences
    métaphysiques. En 2022, elle réintègre la compagnie de Résodanse Station afin de continuer à développer ses capacités au côté de Raphaël Berkane. Elle souhaite, entre puissance et douceur, mettre en lumière l’hyperempathie qu’elle vit quotidiennement.

    Axel Fernandez Acteur, réalisateur, scénariste, monteur et metteur en scène, multitâches hispano-helvète qui voit le jour à La Chaux-de-Fonds en 1993. Il fait ses débuts au théâtre à 12 ans dans Candide de Voltaire mis en scène par Catherine Pauchard au Théâtre Populaire Romand et y suit des cours pendant 3 ans. Il part en 2012 étudier l’art dramatique et le cinéma à Paris, finissant diplômé du Cours Florent, puis de l’Actors Factory. Il joue au théâtre dans le Rocky Horror Picture Show, Cabane de Floriane Facchini, à la TV dans Modern Family, L’alerte de Moïra Pitteloud, et dans de nombreux court métrages tel le très récompensé Blind Date à la Juive d’Anaëlle Morf. Il suit des stages de clowns, d’anglais, puis d’écriture dramaturgique avec la script doctor Pascale Rey qui sélectionne son court métrage La Gomme pour être présenté en janvier 2023 lors d’une projection à la SACD à Paris. Cinéphile, autodidacte, il écrit et réalise une trentaine de court-métrages, sketchs et vidéos, certains récompensés et visibles en accès libre sur internet. Actuellement, il travaille sur le prochain spectacle de Juliette Vernerey en tant qu’assistant à la mise en scène. Créateur hyperactif, il souhaite développer des narrations qui se veulent divertissantes et universellement humaines.

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  • les danseurs – Pascal Nordmann

    les danseurs – Pascal Nordmann

    le 6 octobre 2023 à 19 h – texte Pascal Nordmann – avec Pierre Barayre, Bernard Colin et Violaine Vérité

    L’écriture de Pascal Nordmann contient les envoûtements des torrents de montagne, une eau claire qui s’élance dans le vide et affronte les rouleaux de la cascade. On est surpris de sa vivacité et encore plus, on est ému par son étrange limpidité dévoilant que la poésie peut faire théâtre.

    Dans Les Danseurs, Nietzsche et Haendel, personnages intemporels, devisent sur ce qui fut le monde, sur ce qui est le monde et quelle place leur sera réservée dans le monde à venir, dans un monde à chaque fois ailleurs. Ils s’étonnent des ruptures, des vides, des départs, des vertiges, s’inquiètent de la place qu’occupent les hommes dans tout ce bazar, de la place des objets, des désirs et tout ce qui fait que le monde reste le monde.

    Ce quotidien se déroule sous le regard et la tendresse d’une servante, une voix singulière qui rapporte l’usure, la vieillesse, les choses perdues, ou à perdre, les recommencements et les nécessaires gestes sans lesquels, l’humain ne serait plus l’humain – « Un grand voyage que le voyage de l’éponge sur le dos de l’homme ».

    Nietzsche : Lorsque je suis né, l’on tricotait encore les caleçons à la main. Très vite, ça a changé mais lorsque je suis né, les mains filaient les mailles des caleçons. C’étaient de petits poissons fendant une eau tiède, ces mains dans la laine, ces mains qui tricotaient les caleçons. Plus tard ça a changé. Comment ne pas le voir? Comment ont-ils pu ne pas le voir que s’ouvrait un horizon plein de rumeurs? Plein de charges, plein de responsabilités. Cela se voyait, la responsabilité qui venait dans les caleçons et comment on les tricotait puis ne les tricotait plus mais des machines s’en chargeaient. L’homme changeait. Il était capable de transférer à la matière le travail qu’il désirait faire sur la matière. Il fabriquait des objets à son image. Cela annonçait la venue des temps de la responsabilité. Comment ont-ils pu ne pas le voir?

    Haendel : Lorsqu’ils ont joué ma musique pour les grandes eaux, ma petite musique pour les grandes eaux, j’étais terré derrière le théâtre. Je l’avais écrite en trois semaines seulement. Si peu de temps, c’est un exploit pour une musique de cette durée. Lorsqu’ils l’ont jouée, ma petite musique pour l’eau, je n’en croyais pas mes oreilles. Ils jouaient cette chose, ils allaient tirer un feu d’artifice. Tout cela, ils le faisaient comme je l’avais voulu, au bénéfice du grand hôpital de la ville. Cette musique splendide allait résonner pour ce qu’il y a de plus misérable. Ma tête tournait. J’avais l’impression que les étoiles les plus hautes, les plus chaudes, étiraient leurs doigts jusqu’à la terre, que le plus haut et le plus bas allaient s’épouser, pour qu’il en sorte je ne sais quel monstre. Je ne savais plus si je devais avoir peur, me réjouir ou avoir peur.

    La servante : Un grand voyage que le voyage de l’éponge sur le dos de l’homme. De l’omoplate de l’homme à l’omoplate de l’homme, distance plus grande que la distance d’un pôle à l’autre. Tropique plus périlleux que Capricorne, que Cancer que la ligne médiane qui, de la nuque au fond, parcourt l’homme telles les dorsales fumantes du fond des océans. Car l’homme est grand parce qu’il n’est pas un. Car l’homme à lui tout seul est l’oiseau, la roche, la vague, le volcan. Car lorsque vous démontez l’homme, ce sont mille mondes que vous trouvez. Mille collines, mille serpents, mille éclairs. Car l’homme est fait de tout et tout est dans l’homme.

    à propos de

    • Pascal Nordmann

      Pascal Nordmann a vécu entre Genève, Paris et Detmold, dans le nord de l’Allemagne, où, en 1986, il fonde une compagnie de théâtre, le « Chairos Theater », qu’il dirige durant dix ans et pour laquelle il écrit des textes, met en scène et crée décors et accessoires.

      La compagnie tournera en Allemagne, Pologne, Suisse, France, Autriche et Hollande… 

      Né à Paris, mais de nationalité suisse, il vit aujourd’hui à Genève.

      Et il mène de front plusieurs œuvres (littérature, écriture dramatique, arts plastiques et… informatiques), faisant la part belle à un certain esprit surréaliste, à la poésie, à l’étrange, à l’humour… 

    distribution

    Pierre Barayre, Nietzsche
    Après des études en lettres classiques, psychologie et droit, certificat d’avocat en poche, il opte pour une carrière de comédien, metteur en scène, pédagogue. Il participe depuis les années 80, en free lance ou avec sa compagnie, à de nombreuses aventures théâtrales, souvent autour de nouvelles écritures. Il dirige durant une vingtaine d’années la Comédie de Saint-Maur Val de Marne et ouvre des ateliers de théâtre fréquentés par de nombreux élèves de l’Est parisien. Dans les années 2000 il s’installe dans le sud où il fonde le Théâtre Hirsute. Parallèlement à ces activités, il est chargé de donner des cours dans différentes universités et anime multiples stages et ateliers dans le cadre de dispositifs départementaux ou régionaux.

    Bernard Colin, Haendel
    Bernard Colin se forme auprès des chercheurs de théâtre des années 70. Il fonde la compagnie Tuchenn au début des années 80 puis l’Aire Libre, théâtre de la périphérie rennaise consacré aux formes contemporaines, qu’il dirige pendant cinq ans. À partir de 1995, il se spécialise dans l’adaptation de textes marquants de la littérature et de la poésie contemporaine. Son travail de création est caractérisé par une attention particulière portée aux acteurs, et une relation de grande proximité avec le public. Il dirige un organisme de formation aux métiers du spectacle (Studio Té) et a co-fondé en 2013 la compagnie Le P’tit Denfert avec Violaine Vérité.

    Violaine Vérité, la servante
    Violaine Vérité débute le théâtre à Paris en 1972, sous la direction artistique d’Eduardo Manet avec qui elle travaille jusqu’en 1980. Elle s’installe ensuite à Montpellier et collabore avec diverses compagnies et metteurs en scène de la région. En 2006, elle rejoint Tuchenn, en Bretagne. À partir de 2009, elle impulse au sein de la compagnie des productions autour de la thématique des destins de femmes. Dans cette optique, elle se consacre à l’adaptation et à l’interprétation de textes de la littérature contemporaine : Michèle Desbordes, Marguerite Duras, Annie Ernaux, Carole Martinez, Flavia Perez. En 2013, elle crée la compagnie Le P’tit Denfert avec Bernard Colin.

  • le gang des déesses

    le gang des déesses

    en résidence du 26 au 30 septembre 2023 à l’Atelier Grand Cargo

    développement de l’écriture et essai en scène pour la création d’un spectacle de rue

  • Carmen – Teresa Larraga

    Carmen – Teresa Larraga

    en résidence du 7 août au 3 septembre 2023 à l’Atelier Grand Cargo

    réadaptation et expérimentation vers une nouvelle version du spectacle Carmen – Théâtre Frenesi.

    Un spectacle musical inspiré de la nouvelle de Prosper Mérimée et de l’opéra- comique de Georges Bizet. Une version comico-lyrique, revisitée par une secrétaire de garage.

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  • Élise Perrin – aborder le monde

    Élise Perrin – aborder le monde

    en résidence du 12 au 16 juin 2023 – seconde partie

    distribution

    Idée originale, texte et jeu – Elise Perrin
    Complicité artistique, musique et jeu – Noé Forissier

    à propos

    2053 est une tentative d’agir sur le monde en imaginant un futur lumineux. La forme choisie est celle d’un bulletin d’information de l’an 2053. Imaginons qu’à cette époque, le capitalisme soit de l’histoire ancienne et que le vivant ait repris le pas sur les écrans. L’actualité est donc diffusée grâce à des troubadours en chair et en os, parce que c’est bien plus sympathique. Justification un peu légère ? Non, car dans ce monde postcapitaliste, les valeurs ont été complètement redéfinies. Il s’agit là de mutations cognitives absolument inédites : on cherche avant tout à prendre plaisir à ce qu’on fait; l’accumulation de biens matériels est dénuée de sens et on a tordu le cou à l’oiseau de malheur du téléjournal qui s’est réincarné en journal vivant.

    partenariat

    Note d’intention

    J’ai de plus en plus de difficulté à imaginer un futur qui ne soit pas sombre et destructeur. Mon imagination se heurte à des murs et tombe dans des trous béants. Tout me crie : un avenir meilleur, c’est impossible, regarde, une autre guerre a éclaté. Saisie par l’urgence grandissante d’inventer des alternatives, j’écris ce spectacle pour reprendre espoir, car le théâtre permet de traverser les murs et d’enjamber les trous noirs.

    Il est urgent que nous nous frayons une issue hors du capitalisme et de la destruction du vivant. L’imagination ne suffira pas, mais elle est le point de départ du changement. Je rejoins bell hooks quand elle écrit que « ce que nous ne pouvons pas imaginer ne peut pas devenir réalité. » Avec 2053, j’aimerais tracer de nouveaux sentiers vers l’utopie, pour revenir sur mes pas et pouvoir affirmer : regarde, il y a un passage ! Sans m’encombrer de fausse modestie, puisqu’au théâtre le vrai peut être faux et le faux devenir vrai, j’aimerais relever le défi de l’optimisme et de prendre le risque de la prophétie.

    Elise Perrin, directrice artistique de Jeanne & cie

  • HOUL

    HOUL

    sortie de chantier le 26 mai 202317h devant le Cargo

    résidence CCHAR

    Texte présentation

    Tombé à l’eau un soir de tempête, un homme chute dans un espace sans âge, entre la vie et la mort, dernier refuge des disparus en mer. Alors qu’il essaie de rassembler ses souvenirs fragmentés, il trébuche de rencontre en rencontre.

    Dans les profondeurs inconnues de l’étendue liquide, les ombres s’animent, les courants s’entremêlent au passé, au présent. Les derniers instants inquiets et fantastiques d’un homme qui accepte de vivre pour quitter ce monde.

    Par l’acrobatie et le jeu grotesque, la manipulation d’objets et les transformations d’espaces, nous donnons forme à ce non-lieu poétique habité de créatures créées avec plusieurs corps et de personnages aux traits physiques généreux, un spectacle qui emprunte au songe pour rêver de notre propre vie.

    ©Photo : Aruna Canevascini

    • Auteur: Léonore Danesi
    • mise en scène : Guillaume Lepitre
    • Distribution: Ivet Sanz, Alfred Vabre, Guillaume Lepitre, Pierre Moullier, Léonore Danesi

    Genre  : Théâtre physique et cirque
    Public : tout public à partir de 5 ans

    Compagnie: Sept fois la langue

    Le Cargo collabore avec le Centre de Création Helvétique des Arts de la Rue (CCHAR).

  • les fugaces

    les fugaces

    résidence

    sortie de chantier le 26 mai 202315h devant le Cargo

    écrire pour l’espace public
    avec Laura Dahan et Cécile Meignen, comédiennes, metteuses en scène, auteures, co-directrices artistiques de la Cie Les Fugaces.

    WWW.FUGACES.COM

    Le Cargo collabore avec le Centre de Création Helvétique des Arts de la Rue (CCHAR).

    « Comment écrire pour l’espace public ? Comment trouver l’équilibre entre la partition écrite, prévue, et une part d’improvisation inévitable ? Comment la notion d’écriture concerne le texte mais aussi l’implantation dans l’espace ? Quelle textualité peut passer l’épreuve de la rue, pour quelle jauge, et comment parler en se déplaçant ? 

    Lors de ce module, nous partagerons avec vous nos outils et notre expérience d’écriture pour l’espace public. En parallèle, nous vous accompagnerons dans la quête de ce que pourrait être votre écriture propre. L’objectif, au terme de la semaine, est que chacun·e ait découvert et commencé à développer son langage artistique unique et original. Le défi de l’écriture pour l’espace public est de trouver l’équilibre entre la précision de la langue et la disponibilité pour le « présent » et les imprévus de la rue. L’enjeu sera de produire une langue théâtrale renforcée par l’agitation de l’espace public, et non déforcée ou annulée par celle-ci »

  • une soirée au Sahel

    une soirée au Sahel

    en résidence durant le mois de mai 2023 à l’Atelier Grand Cargo, l’écrivain Michel Beretti propose de passer avec lui une Soirée au Sahel où il vit avec son épouse, la comédienne malienne Alima Togola.

  • une soirée au Sahel

    une soirée au Sahel

    en résidence durant le mois de mai 2023 à l’Atelier Grand Cargo, l’écrivain Michel Beretti propose de passer avec lui une Soirée au Sahel où il vit avec son épouse, la comédienne malienne Alima Togola.

  • les écolades

    les écolades

    30 avril 2023

    film des élèves du lycée Blaise Cendrars

  • les écolades

    les écolades

    29 avril 2023

    film des élèves du lycée Blaise Cendrars

  • Hibakushas Oppenheimer

    Hibakushas Oppenheimer

    Deux survivants d’Hiroshima, les Hibakushas, s’entretiennent avec Robert Oppenheimer, considéré comme le père de la bombe atomique.

    Un scientifique de génie, idéaliste et psychologiquement fragile.

    Passionné de culture, grand connaisseur de la poésie, il lit la Baghavad Gita dans le texte et s’exprime dans un français parfait, Oppenheimer s’est interrogé – trop tard – sur sa monstrueuse création.

    Par-delà la mort, il discute et argumente avec les victimes de la bombe A. 

    • Hibakushas Oppenheimer 

      journal Le Ô – Hibakushas Oppenheimer : l’arme atomique brûle les planches du Grand Cargo

      De toujours, l’écrivaine et journaliste Bernadette Richard se passionne pour l’atome, à son usage et ses conséquences. Née au début de la Guerre froide et du maccarthysme elle baigne, durant toute sa jeunesse, dans la propagande pro et antinucléaire et sous la menace d’une destruction totale de la planète en cas de guerre atomique.

      Pour mémoire, son roman Dernier concert à Pripyat, publié aux Éditions L’Âge d’Homme peu avant la guerre d’Ukraine, se déroule dans la zone sinistrée de Tchernobyl. De sa plume, surgit à présent une pièce de théâtre écrite en 1995, pour les 50 ans d’Hiroshima. Elle n’a jamais été jouée. Cependant, à l’heure où Vladimir Poutine et quelques puissances possédant l’arme atomique, brandissent le péril nucléaire, elle est plus que jamais d’actualité. C’est pourquoi, ce soir et demain, Caroline Althaus, comédienne lausannoise et professeure au Théâtre Montreux Riviera, Emmanuel Moser comédien, directeur artistique de La Plage des Six Pompes et du Centre de Compétences et de Création Helvétique des Arts de la Rue, et Yves Robert metteur en scène, auteur de plus de 20 pièces de théâtre et de romans adaptés pour les planches, nous proposent une lecture-spectacle, « bien sentie », de ce texte.

      Sous forme d’entretien, Hibakushas Oppenheimer nous rappelle non seulement les motifs fallacieux pour lesquels les villes de Nagasaki et Hiroshima furent détruites, mais également l’enfer vécu par les survivants. Deux Hibakushas, comme l’on nomme les rescapés de ce massacre, s’entretiennent avec le spectre de Robert Oppenheimer, père de la bombe atomique et scientifique de génie idéaliste et psychologiquement fragile. Opposant à la bombe thermonucléaire – Bombe H –, malmené par sa conscience et la chasse aux sorcières maccarthyste, il tente maladroitement de justifier sa découverte et ses dégâts irréversibles. Une réflexion sur une arme de destruction massive, sur la politique, sur la réécriture de l’Histoire et sur les manipulations dont les Êtres Humains sommes les victimes.

      Dunia Miralles

  • Hibakushas Oppenheimer

    Hibakushas Oppenheimer

    • Hibakushas Oppenheimer 
      journal Le Ô – Hibakushas Oppenheimer : l’arme atomique brûle les planches du Grand Cargo De toujours, l’écrivaine et journaliste Bernadette Richard se passionne pour l’atome, à son usage et ses conséquences. Née au début de la Guerre froide et du maccarthysme elle baigne, durant toute sa jeunesse, dans la propagande pro et antinucléaire et sous la menace d’une destruction totale de la planète en cas de guerre atomique. Pour mémoire,… Lire la suite : Hibakushas Oppenheimer 

    Deux survivants d’Hiroshima, les Hibakushas, s’entretiennent avec Robert Oppenheimer, considéré comme le père de la bombe atomique.

    Un scientifique de génie, idéaliste et psychologiquement fragile.

    Passionné de culture, grand connaisseur de la poésie, il lit la Baghavad Gita dans le texte et s’exprime dans un français parfait, Oppenheimer s’est interrogé – trop tard – sur sa monstrueuse création.

    Par-delà la mort, il discute et argumente avec les victimes de la bombe A. 

  • radio Michel

    radio Michel

    en résidence du 20 au 24 mars 2023 à l’Atelier Grand Cargo

    18h devant le Cargo – entrée libre – chapeau – sans réservation

    Radio Michel, une émission animée par Michel et Eddy, qui se déroule dans la cour de la maison de repos  » les Magnolias ». On y découvre des résidents.e.s qui parlent de leur fin de vie, de leur passions, de leur quotidien…

    « Un thème difficile à traiter car chargé en émotion, ce qui m’a amené à l’aborder avec tendresse, légèreté, poésie et amour. Afin de rendre un spectacle de rue touchant, drôle, qui rend l’invisible visible en donnant la parole à celles et ceux qui d’habitude ne parlent pas. » 

    Inspiré de l’univers des radios locales belges Strip-Tease et Radio Chevauchoir.

    Idée originale : Benjamin Hubin

    Aide à l’écriture et mise en scène : Jean-Michel Distexhe

    Création marionnette : Niels Gryspaert

    Conception Décors : Jean-Paul Jeunieaux assisté de Claudine Jeunieaux

    Conseil dramaturgie : Nicolas Turon

    Musique et Jingles : Martin Daniel ; Benjamin Hubin ; sélection de disques wallons par dj soFa

    Avec les rencontre et témoignages de : Louis et Marie-Louise Lecompte ; Josiane Blanchart et ses amies ; Guy Dauvillée ; Jacqueline Lemaire ; Madame Piette ; Rachid Boukili ; Lauwrence ; Marie-Victoire Jaquet.

    Ce spectacle est dédié à la mémoire de Claude Tilleul & Josiane Blanchart.

    partenariat

  • l’essoufflement de l’ange

    l’essoufflement de l’ange

    10 mars 2023 – Atelier Grand Cargo – La Chaux-de-Fonds

    distribution

    Yves Robert – texte et mise en lecture 
    Laurence Iseli et Blaise Froidevaux – lecture 
    Cargo15 & Atelier Grand Cargo – production 
    Théâtre du Concert – partenariat

    soutiens et partenaires

  • l’essoufflement de l’ange

    l’essoufflement de l’ange

    9 mars 2023 – Atelier Grand Cargo – La Chaux-de-Fonds

    distribution

    Yves Robert – texte et mise en lecture 
    Laurence Iseli et Blaise Froidevaux – lecture 
    Cargo15 & Atelier Grand Cargo – production 
    Théâtre du Concert – partenariat

    soutiens et partenaires

  • l’essoufflement de l’ange

    l’essoufflement de l’ange

    8 mars 2023 – Atelier Grand Cargo – La Chaux-de-Fonds

    distribution

    Yves Robert – texte et mise en lecture 
    Laurence Iseli et Blaise Froidevaux – lecture 
    Cargo15 & Atelier Grand Cargo – production 
    Théâtre du Concert – partenariat

    soutiens et partenaires

  • l’essoufflement de l’ange

    l’essoufflement de l’ange

    25 février 2023 à 19h – Théâtre du Concert – Neuchâtel

  • l’essoufflement de l’ange

    l’essoufflement de l’ange

    24 février 2023 à 20h – Théâtre du Concert – Neuchâtel

  • Un bulletin vivant

    Un bulletin vivant

    du 6 au 10 février 2023 – résidence – Atelier Grand Cargo – La Chaux-de-Fonds