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Yves Robert – Page 2 – Atelier Grand Cargo

Auteur/autrice : Yves Robert

  • pauvres riches

    pauvres riches

    le 11 décembre 2009 à 20h30 – Théâtre du Pommier – Neuchâtel

  • Installation Sociale Poétique

    Installation Sociale Poétique

    Un groupe a travaillé avec l’artiste Lucas Schlaepfer à la conception d’une création collective.

    Échanges et réflexions sur le thème du parcours, mais aussi sur des questions liées à l’identité ou au regard porté par le monde extérieur sur les personnes bénéficiaires de l’aide sociale ont donné naissance à une installation mécanique et interactive.

    en savoir plus…

    horaires

    vernissage vendredi 28 juin à 18h – exposition visible les 29 et 30 juin de 10h à 17h

    entrée libre

  • Lucas Schlaepfer, la Marmite, les amies et les amis

    Lucas Schlaepfer, la Marmite, les amies et les amis

    résidence du 24 au 30 juin 2024 – installation – vernissage vendredi 28 juin à 18h

    Installation Sociale Poétique

    Après avoir suivi pendant sept mois un parcours culturel et artistique organisé par l’association La Marmite, une quinzaine de personnes bénéficiaires de l’aide sociale présente la création collective qu’ils et elles ont réalisée avec l’artiste chaux-de-fonnier Lucas Schlaepfer. Aller à la rencontre de la culture, mener un processus de recherche et de création avec un ou une artiste, collaborer à la réalisation d’une forme artistique et la présenter au public sont les étapes clés des parcours mis en œuvre par La Marmite depuis huit ans. Mouvement artistique, culturel et citoyen, La Marmite agit pour l’accès à l’art et la participation culturelle ainsi que l’affirmation de la créativité, de la sensibilité et des savoirs de tous et toutes.

    l’atelier avec Lucas Schlaepfer

    Entre les sorties culturelles, le groupe a travaillé avec l’artiste Lucas Schlaepfer à la conception d’une création collective. Échanges et réflexions sur le thème du parcours, mais aussi sur des questions liées à l’identité ou au regard porté par le monde extérieur sur les personnes bénéficiaires de l’aide sociale ont donné naissance à une installation mécanique et interactive. Le groupe bénéficiera d’une semaine de résidence artistique au sein de l’Atelier Grand Cargo afin de terminer l’installation de sa création collective. L’œuvre fera l’objet d’un vernissage et sera visible durant trois jours.

    horaires

    Vernissage : Vendredi 28 juin à 18h00

    Exposition visible les 29 et 30 juin de 10h00 à 17h00. 

    les sorties culturelles

    La Marmite s’est associée au TPR – Centre neuchâtelois des arts vivants, au Théâtre du Passage, au Centre de culture ABC, au Musée des Beaux-Arts du Locle et au Centre Dürrenmatt pour proposer un parcours autour de la thématique de l’équivoque. Accompagné·es par les médiatrices Sylvie Pipoz et Ailén Bilat Giorgis, les 15 participant·es ont eu l’occasion d’assister à deux spectacles, de visionner un film, de visiter une exposition et de rencontrer un collaborateur de musée.

    partenaires et soutiens

    Avec le soutien de la Ville de La Chaux-de-Fonds, la Ville de Neuchâtel et le Service de l’action sociale du canton de Neuchâtel.  

  • Radio Fil-Info

    Radio Fil-Info

    le samedi 8 juin à 20h30 au Grand Cargo

    à propos

    Depuis quatre ans, de virus en invasions, de désastre en légères améliorations, de déluges en sècheresses, d’élections en démissions, l’auteur Pascal Nordmann commente l’actualité à raison d’une chronique chaque samedi. 

    C’est Radio Fil-Info

    en savoir plus

    réservation(s)

  • Pierre Barayre – comédien – radio Fil-Info

    Pierre Barayre – comédien – radio Fil-Info

    résidence du 3 au 8 juin 2024 – théâtre – texte de Pascal Nordmann

    Pascal Nordmann à propos de Radio Fil-Info

    Le contexte. Depuis quatre ans, de virus en invasions, de désastre en légères améliorations, de déluges en sècheresses, d’élections en démissions, l’auteur Pascal Nordmann commente l’actualité à raison d’une chronique chaque samedi.

    C’est Radio Fil-Info

    L’action. Aujourd’hui, Pascal Nordmann, animateur de Radio de l’Air du Temps, reçoit Pascal Nordmann de Radio Fil-Info, dans les studios de l’air du temps. Une petite heure d’interview, interrompue par des dépêches d’actualité venues des quatre coins du monde.

    Un contenu. L’occasion de se poser quelques questions sur le temps qui passe, les bouleversements de l’ordre des choses, mais aussi et surtout sur la manière d’informer de la marche du monde, de l’ordre des choses et des glissements de la tectonique du désastre.

    Un constat. L’œil qui regarde, la bouche qui relate, ne sont jamais objectifs, c’est le grand malheur de l’information ! Mais Radio Fil-Info ne travaille qu’avec la réalité. Le réel, pur et simple, tel qu’en lui-même, livré entre vos deux oreilles. Radio Fil-Info met du sens là où il n’y en a aucun.

    Interprétation. Durant cette heure de studio, l’acteur Pierre Barayre (Théâtre Hirsute, Montpellier), véritable caméléon, incarne une bonne vingtaine de personnages. Le premier Ministre d’Haïti, la reine d’Angleterre, un petit pois, dix-huit chiens romains, un accordéon, le grand reporter Yoseph Yessel, un peintre et une souris, la voix de l’ombre, Pascal Nordmann et Pascal Nordmann, ainsi que de nombreux autres.

    Un chaos bien ordonné. Un chaos bien ordonné a besoin d’un grand ordonnateur précis, calme, tête froide et âme libre, sourcilleux lorsqu’il s’agit du réel. Le poète, écrivain et metteur en scène Yves Robert (Atelier Grand Cargo, La Chaux-de-Fonds) assume cette tâche avec sérénité et brio.

    Radio Fil-Info et la vie devient une pomme dans laquelle vous pouvez croquer.

    en amuse-gueule

    Fil spécial par satellite, 3 juin 2023. En avion. Une cuillère à café, la Reine des abeilles et l’histoire humaine se rendent à New York en avion. ‘Je m’en vais offrir mon aide à la cafétéria des Nations unies.’ dit la cuillère à café. ‘Je vais exiger l’interdiction des substances qui déciment mon peuple.’ dit la Reine des abeilles. L’histoire humaine n’a encore rien dit. ‘Et vous?’ ‘Oh moi, j’irai boire des verres dans une boîte. Je chercherai quelqu’un avec qui passer la nuit. Il se peut que j’abuse quelque peu. On me ramènera à l’hôtel au petit matin.’ 

    Pascal Nordmann

    avant-première – au Cargo

    le samedi 8 juin 2024 à 20h30 – réservation(s)

    réservation(s) vivement conseillée(s) / entrée libre – chapeau

    Pierre Barayre

    formation – Conservatoire du 12ème arrondissement et études universitaires (psychologie, lettres classiques et droit). Détenteur du CAPA (certificat d’aptitude à la profession d’avocat) obtenu à l’Université Paris 12. Titulaire du DE et du CA (diplôme d’état et certificat d’aptitude pour l’enseignement du théâtre)

    parcours – Il est engagé en 1979 comme comédien- animateur par l’Atelier Théâtre de la Cité, organisme de gestion du Théâtre de Saint-Maur, implanté dans la salle des fêtes de la mairie.
    Il crée en 1985 la Comédie de St-Maur, qui deviendra la compagnie Pierre Barayre avec laquelle il joue et/ou met en scène plus d’une cinquantaine de spectacles à ce jour.
    En 2002, la ville de St Maur confie une résidence à la Compagnie Pierre Barayre au Théâtre d’Arsonval dont il devient directeur artistique, avec pour mission d’animer la salle avec une programmation originale, de pérenniser les ateliers théâtre qu’il avait créés en 1987 (200 élèves de la primaire à l’âge adulte) et d’organiser un spectacle par saison en plein air au Parc de l’Abbaye du Vieux Saint Maur avec les élèves préparant les concours des écoles nationales et régionales d’art dramatique de sa classe « Rêves en Chantier ».
    En 2006 il s’installe avec sa compagnie qui s’appelle désormais Théâtre Hirsute-Compagnie Pierre Barayre en Languedoc-Roussillon.et signe une convention d’animation en lycées et collèges avec la Scène nationale de Sète et du bassin de Thau.
    En 2009 il entre en compagnonnage avec le théâtre SortieOuest à Béziers. Sa compagnie a reçu le soutien de la commune de St-Maur, du département du Val de Marne, de l’ADAMI , l’aide à la création de la DMDTS pour un projet, l’aide au projet de la DRAC Languedoc Roussillon, l’aide à résidence du conseil général de l’Hérault en 2009 et signé une convention de partenariat pour 2010 et 2011 avec le département de l’Hérault.
    Parallèlement à ces activités il est chargé de cours à l’université Paul Valéry III Montpellier et antenne de Béziers en licence Arts du Spectacle, anime l’atelier théâtre adultes de SortieOuest, l’atelier artistique du lycée Henri IV de Béziers, le studio théâtre de la Scène Nationale d’Albi, l’option théâtre du lycée Bellevue d’Albi et celle du lycée Jean Moulin de Pézenas, de même que la classe à horaire aménagée Théâtre du collège de St-Juéry. Enfin il anime différents stages et ateliers dans le cadre de dispositifs départementaux ou régionaux.

    en savoir plus

    partenaire(s) et soutien(s)

  • tentative de description d’un dîner de têtes

    tentative de description d’un dîner de têtes

    26 mai 2024 à 17h – Théâtre du Concert – Neuchâtel

  • tentative de description d’un dîner de têtes

    tentative de description d’un dîner de têtes

    25 mai 2024 à 20h30 – Théâtre du Concert – Neuchâtel

  • tentative de description d’un dîner de têtes

    tentative de description d’un dîner de têtes

    24 mai 2024 à 20h30 – Théâtre du Concert – Neuchâtel

  • Albertine Mermet – traces

    Albertine Mermet – traces

    le 17 mai 2024 à 20h – Atelier Grand Cargo – La Chaux-de-Fonds

  • Albertine Mermet – traces

    Albertine Mermet – traces

    le 17 mai 2024 à 18h – Atelier Grand Cargo – La Chaux-de-Fonds

  • les fugaces

    les fugaces

    résidence 2024 – artiste de rue (reportée)

    partenariat

  • Tentative de description d’un dîner de têtes

    Tentative de description d’un dîner de têtes

    le dimanche 5 mai 2024 à 11h – sortie de résidence et spectacle – Atelier Grand Cargo – La Chaux-de-Fonds

  • Tentative de description d’un dîner de têtes

    Tentative de description d’un dîner de têtes

    le samedi 4 mai 2024 à 20h30 – sortie de résidence et spectacle – Atelier Grand Cargo – La Chaux-de-Fonds

  • René Gori et l’amour derrière les clapotis

    René Gori et l’amour derrière les clapotis

    une comédie romantique décalée… Histoire de parler d’amour, d’un scarabée extensible, d’un lampadaire philosophe et de la silhouette d’une femme, assise sur un banc installé le long d’un canal, une femme derrière les clapotis.

    l’histoire

    René Gori habiterait la cité imaginaire d’Utrecht, pourtant tellement réelle selon ses calculs et la certitude d’y passer son existence quotidienne…

    Il papote nuit et jour avec un samovar prénommé Gustave, est amoureux d’une fille inaccessible et vit au milieu de classeurs contenant une multitude d’histoires.

    On y croise Elvire la poêle, un scarabée extensible, un lampadaire philosophe, des girafes brouteuses de nuages et un singe empaillé mort de la grippe espagnole…

    En bref, une comédie romantique décalée.

    L’amour est ce qui reste de l’animal chez l’humain, dernier vestige vivant et instinctif dans ce millénaire de froideurs, de machines et d’ordinateurs.

    distribution

    • Blaise Froidevaux
      Blaise Froidevaux est né à La Chaux-de-Fonds en 1961 et vit à Neuchâtel depuis 1998. Il travaille comme comédien, scénographe et metteur en scène.
    • Yves Robert
      habite La Chaux-de-Fonds en Suisse. Il est l’auteur de vingt pièces de théâtre, ainsi que deux adaptations de romans destinées à la scène.

    régie Karim Boukhris

    aquarelle du petit singe (mort de la grippe espagnole) Maoro

    accueil et aide précieuse Christiane Margraitner

    photographies, accueil et aide précieuse Catherine Meyer

    ce spectacle a été créé le 24 octobre 2025 au Grand Cargo

    représentations

    12 représentations à La Chaux-de-Fonds entre le 3 septembre et le 10 novembre 2024

    2 représentations au Théâtre du Concert de Neuchâtel les 12 et 13 septembre 2025

    historique et note d’intention

    Depuis 2022, je travaille sur les chroniques de René Gori, un résident fictif de la ville d’Utrecht aux Pays-Bas, publiées par intermittence sur le site du Grand Gazomètre (certaines publiées sous la rubrique Porte-plume du journal Le Ô). Ce personnage s’exprime à partir de son monde imaginé avec un regard décalé sur les sociétés des hommes, des objets et des animaux. L’idée était, à l’instar des Lettres persanes, de parler de l’humanité et de ses travers en s’autorisant une grande naïveté. René Gori est un innocent s’émerveillant de tout, même du pire. Petit à petit, le désir d’en faire une figure de scène s’est révélé incontournable et un scénario s’est établi sur la présence de deux interprètes, soit René Gori (Yves Robert) exprimant les errements littéraires et amoureux du chroniqueur fictif, et « les muses » (un samovar et un lampadaire philosophe – un multirôle proposé au comédien Blaise Froidevaux) agissant en contrepoint. 

    Tout va bien. Derrière les clapotis, l’atmosphère est restée pure… Si une eau perçoit des murmures d’Angleterre, elle vaporise, prend l’odeur du Darjeeling avec des reflets « Bengale » ou « Lapsang Souchong ».

    l’expression

    Je défends un théâtre de l’écriture, soit le plaisir d’intégrer la tournure littéraire et poétique dans les dialogues, s’autoriser la divagation descriptive et la recherche de la musique dans la langue. Je considère que l’efficacité théâtrale n’est pas la fille d’une simplification du langage, mais bien celui de la recherche des émotions humaines en acceptant leurs complexités. La première confiance de l’écriture est de reconnaître la curiosité et l’intelligence des spectateurs. C’est le choix qui est le mien et la couleur que je veux donner à mes écrits de scène.

    Par contre il faut être attentif à bien amarrer son canot à rame, à rame plate, afin que la marée ne l’emporte pas. Surtout laisser le cordage bien lâche, sinon contrainte par l’ancre, l’embarcation s’engloutira avec la montée des eaux.

    les géographies imaginaires de René Gori

    publication

    cahier du Grand Cargo

    texte intégral

    cahier format A5

    reliure centrale avec deux agrafes

    papier blanc 80 à 100 gr.

    CHF 5.– pcs.

    envoi par poste pour la Suisse – étranger sur demande

    photographies de Catherine Meyer

    la presse

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    – 1er novembre 2024

    soutiens et partenaires du spectacle

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  • Tentative de description d’un dîner de têtes

    Tentative de description d’un dîner de têtes

    le vendredi 3 mai 2024 à 20h30 – sortie de résidence et spectacle – Atelier Grand Cargo – La Chaux-de-Fonds

  • Blaise Froidevaux – tentative de description d’un dîner de tête – Jacques Prévert

    Blaise Froidevaux – tentative de description d’un dîner de tête – Jacques Prévert

    résidence du 29 avril au 5 mai 2024 – théâtre

    tentative de description d’un dîner de têtes à Paris-France – Jacques Prévert

    Écrit en 1931 Tentative de description d’un dîner de têtes est un texte que ses anciens amis du groupe surréaliste n’auraient pas désavoué. À la fois irrévérencieux, drôle et grave, Jaques Prévert nous embarque dans un récit ou les scènes s’enchaînent et se superposent sur un mode quasi cinématographique. Un récit où l’auteur, non seulement nous raconte une histoire, mais il nous la raconte en la faisant voir. Comme à son habitude il joue avec le sens des mots, en invente, les contractes, emprunte au langage parlé, ironise et n’est pas en reste d’intention satirique. Bien qu’encré dans son époque par ses références, le texte résonne encore aujourd’hui comme s’il avait été écrit hier, et à y réfléchir, 1931 n’est-ce pas hier ? Et à encore y réfléchir, Jacques Prévert on croit le connaître, et pourtant… Dans ce récit il nous parle d’un monde qui se trouve être le nôtre encore aujourd’hui – et c’est comme si tout recommençait, comme si rien n’avait changé… 

    « Quand quelqu’un dit : Je me tue à vous le dire ! Laissez-le mourir. » J.Prévert

    distribution

    Blaise Froidevaux : conception et jeu

    Matthias Mermod : création lumière et régie

    Yves Robert : collaboration artistique

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    représentations – Grand Cargo

    vendredi 3 mai 2024 à 20h30 / samedi 4 mai à 20h30 / dimanche 5 mai à 11h

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    représentations – Théâtre du Concert

    vendredi 24 mai 2024 – 20:30

    samedi 25 mai 2024 – 20:30

    dimanche 26 mai 2024 – 17:00

    partenariats et soutiens

  • Aloïse Held – Mathilde

    Aloïse Held – Mathilde

    résidence du 8 au 19 janvier 2024 – Mathilde (marionnettes)

    à propos de Mathilde

    Mathilde choisit d’enregistrer ses souvenirs, les considérant comme des repères temporels immuables. Cette démarche devient une manière pour elle de lutter contre la disparition progressive de sa mémoire, une tentative de préserver des fragments de son passé qui s’évanouissent lentement.

    Face à la fragilité de la mémoire qui s’estompe, elle se confronte à la question fondamentale de ce qui reste lorsque les souvenirs s’effacent, de quels souvenirs choisit-on de conserver.

    Avec humour, tendresse et legerté, le spectacle dresse des fragment de la vie de Mathilde, ses souvenirs d’enfance, de ses éclats de rire avec son mari, ou encore de son histoire d’amour estivale avec une amie, l’histoire de cette femme se dévoile.

    Marionnette portée | 40-45 min | Tout public

    à venir – représentation au Grand Cargo

    vendredi 19 avril à 20h

    réservation(s) obligatoire(s) – compagnie.alorizon@gmail.com

    distribution

    jeu et coécriture Aloïse Held

    mise en scène Vincent Held

    coécriture Marie Delpit

    voix Dominique Bourquin

    conception marionnette Aloïse Held

    Aloïse Held et sa marionnette

    mise en scène Vincent Held

    le dossier PDF du spectacle

    les sorties de la première résidence

    le 03 février 20h et 04 février 18h – La Turlutaine

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  • Aloïse Held et Lisa Wallinger

    Aloïse Held et Lisa Wallinger

    13 avril 2024 à 11h sortie de résidence – Atelier Grand Cargo – La Chaux-de-Fonds

  • Aloïse Held et Lisa Wallinger

    Aloïse Held et Lisa Wallinger

    résidence du 8 au 13 avril 2024 – artiste de rue – seconde partie / sortie de résidence samedi 13 avril à 11h

    à propos

    Compagnie : ALORIZON – En résidence d’écriture : Du 25 au 31 mars et du 8 au 13 avril 2024

    Lectures : Les 30 mars et le 13 avril – Rendez-vous à l’Atelier Grand Cargo – Cornes-Morel 13 / 2300 La Chaux-de-Fonds

    Maintenant, il ne reste plus que quelques traces et détritus de cette histoire. Je balaie les souvenirs que chacun, chacune laisse sur son passage. Il y a des souvenirs qu’on aimerait pas chasser, qu’on aimerait garder au fond de nous. Laisser la propreté pour plus tard et se laisser bercer par les histoires que nous racontent les rues.

    théâtre – tout public – projet de déambulation

    coproducteurs / partenaires

    29 avril au 3 mai : création, La Roseraie, Bruxelles (à confirmer) / Novembre 2024 : création, Le Lieu, Gambais, France

    partenariat

    distribution

    écriture : Aloïse Held et Lisa Wallinger / jeu : Aloïse Held

  • Pascal Bourquin – 9 encres de Chine

    Pascal Bourquin – 9 encres de Chine

    petite exposition de 9 encres de Chine représentant des paysages de forêts et de falaises – dès le 6 avril jusqu’au 9 juin 2024

    La foresta 97 2023

    presse

    biographie

    • Pascal Bourquin
      est né en 1970 à Southampton (GB), il vit et travaille à La Chaux-de-Fonds après avoir grandi à Saignelégier. Cet artiste est diplômé de l’EAA de La Chaux-de-Fonds en 1993.
  • Luana Volet

    Luana Volet

    résidence du 1er au 5 avril 2024 – artiste de rue, acrobate et comédienne

    informations provisoires…

    p a r a d e d ’ i n t i m i d a t i o n a i g r e-d o u c e

    c’est des éclats sous les pieds

    une rangée de voitures amputées de leurs rétroviseurs

    c’est le regard avant le poing

    des morceaux de cristal contre un mur

    c’est le son d’une bonbonne avant les yeux qui piquent,

    le bruit d’une allumette avant le feu

    c’est le pavé juste avant une vitre en verre

    c’est le dernier kapla sur une tour instable

    c’est l’odeur de la baston.

    C’est une rencontre urbaine de quatre danseuses, circassiennes, comédiennes et celleux qui se sont retrouvé·e·s-là. Un gang de meufs polymorphe qui te regarde droit dans les yeux et qui t’invite à valser, capable de tout détruire sur leur passage sans jamais rien casser.

    Une recherche artistique à partir de la question: Se défendre, c’est violent? et de la possibilité de s’accaparer la violence comme moyen d’action, de riposte. Et spécifiquement sur le moment « juste avant » d’y répondre. Ce laps de temps où rien ne s’est encore passé alors tout peut encore arriver.

    partenariat

    distribution

    Luana Volet – porteuse de projet, acrobate et comédienne

    Daniela Vargas Torres – circacienne, danseuse

    Françoise Gautier – comédienne

    Elisabeth Merle – danseuse

    Jane Fournier Dumet – regard extérieur

  • Aloïse Held et Lisa Wallinger

    Aloïse Held et Lisa Wallinger

    au Grand Cargo le samedi 30 mars à 11h

    lecture / sortie de chantier

    elles parleront de déchets, démolition, origami, Céline Dion et spaguettis

    Y aura du café et des croissants… dans la limite des stocks disponibles 🙂

  • Aloïse Held et Lisa Wallinger

    Aloïse Held et Lisa Wallinger

    résidence du 25 au 31 mars 2024 – artistes de rue – première partie

    extrait

    Maintenant, il ne reste plus que quelques traces et détritus de cette histoire. Ces résidus deviennent témoins d’une résistance. Je balaie les souvenirs que chacun, chacune laisse sur son passage. Il y a des souvenirs qu’on n’aimerait pas chasser, qu’on aimerait garder au fond de nous. Laisser la propreté pour plus tard et se laisser bercer par les histoires que nous racontent ces rues.

    J’entends encore cette musique, qui résonnait dans tout le quartier ce mercredi soir. Je me souviens de ces bruits de bouchons qui éclatent et s’envolent. De ces rires clairs qui s’enivrent de joie. 

    Je les vois encore danser jusqu’au bout de la nuit. 

    Danser pour ne pas disparaître.

    partenariat

  • Orélie Fuchs Chen – autrice

    Orélie Fuchs Chen – autrice

    du 22 au 25 mars 2024 résidence – Atelier Grand Cargo – La Chaux-de-Fonds

    prose horizontale

    Un masseur et des comédien.ne.s

    Pour me confronter à la matière – car c’est l’élément central dans mon travail – j’ai choisi d’inviter un masseur sur scène avec des comédien.ne.s.

    Quatre interprètes s’engagent dans une exploration à la fois physique et spirituelle. Ils sont accompagnés par un masseur, qui ne manque pas d’esprit non plus.

    Mon texte « Prose horizontale » sert de base. Il est sans cesse nourri par le flux et le reflux des pensées et de la réalité de l’instant.

    le travail a été nourri par les rencontres passionnantes suivantes

    en résidence à la Comédie de Genève

    Marie-Laure Amram – oncologue

    Claudia Longchamp – spécialiste des démences séniles et d’Alzheimer

    Solange Müller-Pinget – psychothérapeuthe

    Sabine Pinget – fasciathérapeuthe

    Thomas Richter – physiothérapeuthe et masseur 

    Delphine Rosay – praticienne de théâtre

    par écrit, zoom, rencontre et téléphone

    Eric Bonvin – formé initialement en anthropologie sociale et culturelle, psychiatre-psychothérapeuthe, formé en anthroposophie, hypnose et homéopathie et Directeur des hôpitaux du Valais

    Jules Zimmerman – spécialiste en créativité

    représentations

    du 17 au 21 avril 2024 au Centre de culture ABC, Temple allemand – La Chaux-de-Fonds

    l’équipe

    Orélie Fuchs – texte, scénographie et mise en scène

    Pierre-Isaïe Duc – interprète

    Lola Giouse – interprète

    Cédric Leproust – interprète

    Françoise Boillat – interprète

    Thomas Richter – masseur en scène

    Mathilde Aubineau – collaboratrice artistique

    Joana Oliveira – lumière

    Stéphane Mercier & Linus Johansson – son 

    Amandine Rutschmann – costumes

    Gabriel Dollat – technique 

  • Orélie Fuchs Chen – autrice

    Orélie Fuchs Chen – autrice

    du 22 au 25 mars 2024 résidence – Atelier Grand Cargo – La Chaux-de-Fonds

  • Niobé, un matin

    Niobé, un matin

    photographies Catherine Meyer ©

  • Jean-Charles Liechti et Nathanaël Morier

    Jean-Charles Liechti et Nathanaël Morier

    résidence préparatoire le 10 février 2024 – théâtre

    à propos

    Que se passe t’il quand un designer d’esprit rencontre un praticien de la méthode action type ?

    Entre neuro motricité, parole musique, un projet de show ? De spectacles ? D’expérience ?

    Quoi qu’il en résulte une éveil ou un réveil va sonner pour le public. Jean-Charles Liechti et Nathanaël Morier croise leur chemin, leur passion, leur inspiration pour un projet commun unique et novateur. 1ère étape – rassembler les idées et le Grand Cargo sera le lieu d’incubation.

  • Jean-Charles Liechti et Nathanaël Morier

    Jean-Charles Liechti et Nathanaël Morier

    10 février 2024 résidence théâtre – Atelier Grand Cargo – La Chaux-de-Fonds

  • Lady Bee & The Epileptics

    Lady Bee & The Epileptics

    dimanche 28 janvier à 11h (brunch) – Atelier Grand Cargo – La Chaux-de-Fonds

  • Lady Bee & The Epileptics

    Lady Bee & The Epileptics

    le 27 janvier à 20h – Atelier Grand Cargo – La Chaux-de-Fonds

  • contact

    contact

    Atelier Grand Cargo

    Cornes-Morel 13 – 2300 La Chaux-de-Fonds – téléphone +41 78 626 76 50 – contact@cargo15.ch

  • nous trouver

    nous trouver

    Cornes-Morel 13, 2300 La Chaux-de-Fonds – téléphone +41 78 626 76 50

    depuis la gare

    bus 312 direction Joux Perret arrêt Marais

    bus 301 direction Arêtes arrêt Monique St-Hélier (à l’arrêt, traversez la route en direction du Nord, franchir la passerrelle au-dessus de la voie de chemin de fer et rejoindre la rue principale du quartier de l’Esplanade) 

    fauteuils roulants 

    un accès direct est possible – merci de nous informer afin que nous puissions vous accueillir et relever la barrière qui permet la dépose à l’entrée de l’atelier

    parkings 

    Le quartier de L’Esplanade dispose d’un parking pour les visiteurs.

    plan

  • Rolf Blaser – le 9e livre

    Rolf Blaser – le 9e livre

    exposition – Haus der Kunst St. Josef – du 10 février au 3 mars 2024

    le site de la maison de l’art St. Josef

  • la rivière à la mer

    la rivière à la mer

    photographies Catherine Meyer ©

  • les 16/9 – Yves Robert

    les 16/9 – Yves Robert

    photographies Yves Robert ©

  • galerie du Grand Cargo

    galerie du Grand Cargo

    les photographies théâtre et autres

  • le premier jour de la cale sèche

    le premier jour de la cale sèche

    éditorial du 1er janvier 2024

    tempêtes et conséquences

    Après trois années de turbulences, en ce début d’année 2024, l’Atelier Grand Cargo est en difficulté, voire à deux doigts du naufrage.

    Non que le plan de navigation fut mal conçu1, mais principalement en conséquence de diverses décisions de la République et Canton de Neuchâtel adaptant les règles de la redistribution des aides à la production théâtrale. Cette évolution ou renforcement des pratiques a généré, dans notre cas, une réelle situation d’insécurité rendant trop audacieuses toutes productions de spectacles.

    Je vis la situation paradoxale de disposer d’un outil de création performant et économiquement stable, mais sans pouvoir garantir, même de manière modeste, la production, donc le travail et les salaires.

    De son côté, la République et Canton de Neuchâtel fait avancer à grands pas sa nouvelle loi sur l’encouragement à la culture.

    Malgré les discours d’autosatisfaction émaillant des différentes prises de paroles du Conseiller d’État ou de ses services, il est à craindre que les éventuelles améliorations perpétuent l’action  très asymétrique de l’État.

    Le risque n’est pas tant dans les articles de la loi, mais bien dans les divers règlements de mise en application qui seront établis par l’exécutif et ses services.

    Cela soulève les questions de comment s’écrivent ces règlements et qu’elle en est le contrôle par  les députés.

    Le Grand Cargo est dans la catégorie des structures culturelles indépendantes et singulières, donc par essence, hors de la conformité majoritaire ou dominante.

    C’est une position faible.

    Alors avec un brin d’audace, concernant cette aventure législative, je parodie les règlements et critères en cours ou à venir, en me référant à ce qui était énoncé en fin du récit La ferme des animaux de Georges Orwell, par une version iconoclaste : « Tous les artistes sont égaux, certains artistes sont plus égaux que d’autres ».

    Comme dit précédemment, je n’appartiens pas à la catégorie « des plus égaux que d’autres » et je ne souhaite pas pour autant rallier cet entre-soi.

    Ma joie modeste serait d’échapper à l’expertise arbitraire triant les bons et les mauvais entrepreneurs artistiques… D’ailleurs quels sont les experts ayant nommé les experts ?

    De manière plus large et de mon point de vue, la République et Canton de Neuchâtel n’a pas de politique culturelle, mais une gestion. Ce qui est radicalement autre chose et n’inclut pas la compréhension républicaine de l’avenir, surtout favorise le développement des usages technocratiques, voire inégalitaires. 

    Peut-être serait-il temps que le législatif dresse un état des lieux et s’interroge avec sérieux sur ce que représente la culture dans une démocratie ?

    Mais, cette tribune ne m’appartient pas.

    La saison de la cale sèche

    Face aux empêchements passés2 et potentiellement futurs, le Grand Cargo n’a pas d’autre choix que de cesser ses activités publiques. 

    Toutefois, le mécénat m’a encouragé à rechercher des solutions alternatives et m’accorde un délai durant lequel je vais tenter de trouver une échappatoire ou provoquer un renversement. 

    D’autre part, et afin de lever toutes ambiguïtés, il est à souligner que le soutien indéfectible de la Ville de La Chaux-de-Fonds, malgré ses maigres moyens, a révélé un partenaire solidaire et stimulant.

    Dans ce laps de temps administratif et de développement d’un avenir possible, l’Atelier Grand Cargo restera actif par l’accueil de nombreux résidents3 en ses murs. De cette manière, il espère collaborer utilement à la mise en œuvre de diverses créations des arts de la scène et de l’écriture. 

    Cette période qui s’ouvre sera : la saison de la cale sèche.

    Après cela, peut-être que le Grand Cargo sera remis à l’eau et entamera une seconde navigation ?

    Ai-je de grandes espérances ou de grandes illusions ?

    Seul le temps révèlera ce qui doit advenir.

    l’orgueil de la mémoire

    La réponse négative de la sous-commission des arts de la scène qui nous a précipités dans la crise actuelle motivait, entre autres, son refus par l’appréciation que : « ce dispositif est notamment destiné à soutenir des compagnies confirmées qui peuvent se prévaloir d’une reconnaissance par les pairs comprise en termes de tournée ». 

    Reste à savoir ce qu’est réellement une compagnie confirmée, une tournée, quels sont les lieux potentiellement reconnus, qui sont les pairs et quels sont leurs qualités ?

    Cette remarque était outrageante à bien des égards, mais a eu pour effet de m’interroger sur le parcours d’écriture qui fut le mien. Soit en vingt ans, vingt-cinq pièces écrites, et pour la quasi-totalité, portées à la scène d’une manière ou d’une autre.

    Parfois, une piqûre à l’orgueil, même si celui-ci est considéré comme un péché capital, se révèle salutaire.

    En reprenant le déroulé de mon parcours, j’ai réalisé l’ampleur du travail d’écriture théâtrale accompli jusqu’à ce jour. Face à ce panorama, j’ai décidé de le rendre accessible à tout un chacun sous forme de cahier agrafé dans la tradition de « la littérature de ficelle4  ».

    Soit dix-sept publications5 en attendant celles encore à réaliser.

    Il ne m’appartient pas de me prononcer sur la qualité de ces écrits, car j’ai toujours considéré que cela relevait de la responsabilité du lecteur ou du spectateur.

    J’affirme simplement que je cherche « à faire œuvre », c’est-à-dire à construire le récit de la pensée et des questionnements qui sont les miens, un récit dont je puisse assumer les erreurs, les errements, les malfaçons et les espérées illuminations.

    En créant cette collection, voilà que s’ajoute à mes nombreux défauts : l’orgueil de la mémoire.

    La Chaux-de-Fonds, le 1er janvier 2024

    Yves Robert

    notes

     Le financement de l’infrastructure, majoritairement soutenu par du mécénat extracantonal, est resté équilibré tout au long des sept années d’exploitation du lieu. 

     voir l’édito du 30 janvier 2021 

    voir la programmation des résidences 2024

    Écrits courts suspendus sur un fil par des pinces à linges et proposés par les vendeurs à la sauvette dans les rues d’Amérique du sud. 

    5 les cahiers publiés

    lire, écouter, écrire et s’informer

  • Lady Bee & The Epileptics

    Lady Bee & The Epileptics

    résidence du 23 au 28 janvier 2024 – résidence et deux concerts

    à propos

    « Sondage » combine humour, musique jazz, et une narration captivante pour célébrer la vie, l’amour, et la liberté. La pièce met en lumière la quête universelle de connexion et d’authenticité dans un monde dominé par les apparences et les attentes sociales. Ce travail s’établit avec des compositions originales du groupe.

    en savoir plus…

    « Sondage » est une comédie musicale jazz centrée sur Lady Bee, une chanteuse en quête d’amour et d’acceptation, confrontée aux attentes sociétales et à ses désirs personnels. Elle traverse diverses situations humoristiques et rencontres romantiques, ponctuées de chansons de jazz issues du répertoire de Broadway des années 1940-1960. La pièce est animée par un quartet composé de Lady Bee à la voix, Charles-Edouard Von Bourdon au saxophone, Jean-Baptiste de la Touche à la guitare, et Sammy Lasticot à la contrebasse, formant les « Epileptics ».

    Le spectacle débute avec Lady Bee se préparant pour un rendez-vous, mais une série de mésaventures la retarde. Elle exprime ses frustrations et espoirs à travers des chansons telles que « Perhaps », « No Moon at All », et « Makin’ Whoopee ». Les interactions de Lady Bee avec plusieurs personnages masculins, notamment Jean-Baptiste et Sammy l’Asticot, révèlent les complexités des relations modernes.

    Le spectacle explore des thèmes comme l’autonomie, la liberté personnelle, et les rôles de genre. Vers la fin, Lady Bee réalise qu’elle peut définir ses propres termes pour l’amour et la vie, un sentiment capturé dans la chanson « Love Me or Leave Me ».

    représentations

    samedi 27 janvier à 20h

    Attention, au vu du peu de places encore disponibles 

    réservation(s) vivement conseillée(s)

    réservations : contact@ruebemol.ch / +41 78 821 38 45

  • il y a du vent…

    il y a du vent…

    en attendant Godot…

  • bonne année 2024

    bonne année 2024

    en attendant les activités à venir

  • la mort de Vladimir – TPVH

    la mort de Vladimir – TPVH

    vendredi 22 décembre 2023 à la Salle Vert Paradis – Argelliers à 21h

    . .
  • la mort de Vladimir – TPVH

    la mort de Vladimir – TPVH

    vendredi 15 décembre 2023 au Foyer rural de Vendémian à 20h30

    . .
  • Manu Moser et Élima Héritier

    Manu Moser et Élima Héritier

    résidence du 13 au 15 décembre 2023 – Arts de la rue

    Parce que la météo de décembre est ce qu’elle est… le Cargo offre durant trois jours un havre à Manu Moser et Élima Héritier pour la préparation de l’un des trois monologue clandestins de la série : sauvageries théâtrales nocturnes

    Ça cause d’amour, d’humanité, avec empathie et simplicité.
    C’est direct, sans filtre, sans pudeur, sans vice et sans jugement.

    Sur un bout de trottoir, un humain, presque une ombre, parle.
    Le corps abandonné raconte et discourt.

    Et voici exposés, quelques morceaux de vie : amour, perdition, solitude, beauté, immigration, destruction, écologie, rêves et espoirs… Tout y passe.

    Les clochards disent ce qu’ils veulent, ils n’ont plus rien à perdre…

    en savoir plus…

  • danser avec la tristesse d’une fin du monde

    porte-plume – journal Le Ô

    À l’Orient, les flammes d’un incendie couvent sous la cendre dégageant une odeur de phosphore. À l’Est, on exhume le cadavre rouillé des monstres d’acier. Au Sud, entre les feuilles mouillées de la forêt pluviale ou dans les déserts arides, les os des massacrés se désagrègent, occultant le malheur des multitudes. À l’Ouest, la joie factice de l’abondance se dilue dans la monotonie des défaites et la gloire des gagnants.

    Et puis, l’eau monte et les rescapés s’enfuient en canots pneumatiques. Et puis, l’eau monte et la voiture électrique conquiert des parts de marché. Et puis, l’eau monte et des politiciens s’égosillent sur la faute de l’autre. Et puis, l’eau monte et la conquête de Mars se donne une allure de bouée de sauvetage. Et puis, l’eau monte, mais on ne sait pas où elle s’arrêtera, alors… On danse avec la tristesse d’une fin du monde.

    Toutefois, face au désastre, demeurent immuables, ces gestes et intentions esquissés une première fois dans la savane par de drôles de singes nus. Mains tendues, sourires qui élèvent l’âme au-dessus de la peur, regards qui réunissent, bras qui étreignent et consolent, naissance dans les herbes offrant l’espoir d’un avenir, sépulture fleurie.

    Il est vrai, l’orage gronde et la foudre, force incompréhensible, s’abat au hasard, sème le trouble, mais ces gestes plus fort que la mort, ces gestes reviennent chaque jour malgré nos terreurs, ces gestes s’inscrivent avec la marque d’une paume posée depuis la nuit des temps sur la paroi d’une caverne, trace éternelle. Ces gestes obligent à rester humains.

    Et puis, l’eau monte, un peu de musique, et l’on danse joyeusement sur la tristesse d’une fin du monde.

  • Maoro, retour du Caire

    Maoro, retour du Caire

    du 6 novembre au 10 décembre 2023 – Atelier Grand Cargo – La Chaux-de-Fonds

  • Maoro, retour du Caire

    Maoro, retour du Caire

    petite exposition de quatre œuvres de Maoro Frascotti – du 6 novembre au 10 décembre 2023

    à propos

    biographie

    • Maoro Frascotti
      est né à La Chaux-de-Fonds en 1957. Il est le fils de Giovanni, propriétaire d’une entreprise de peinture en bâtiment et d’Albina, couturière. Il apprend le dessin et entre à l’école des Arts Appliquées avec l’aide du peintre/sculpteur Louis Ducommun. Il obtient le certificat fédéral de capacité de graveur sur acier. Il travaille à la réalisation de plusieurs bandes dessinées et expose régulièrement les planches originales. Il voyage dans plusieurs pays et obtient la Bourse d’étude de la conférence des villes suisses pour une résidence au Caire ainsi qu’une bourse de Pro Helvetia et une bourse Visarte pour la Cité des arts à Paris. Ces séjours vont lui permettre de développer un de ses thèmes de prédilections : les toits de Paris.