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Yves Robert – Page 10 – Atelier Grand Cargo

Auteur/autrice : Yves Robert

  • Madame Bouh !

    Madame Bouh !

    1er février 2009 à 17h – La Tarentule – Saint Aubin

  • Madame Bouh !

    Madame Bouh !

    31 janvier 2009 à 17h – La Tarentule – Saint Aubin

  • biographies

    biographies

    • Yann Bétant
      Né en 1978 à Lausanne (Suisse). Formation à l’École de Théâtre Lassaad, Bruxelles. Formation comme réalisateur à l’IAD (Institut des Arts de Diffusion), Louvain-La-Neuve. Travaille en tant que cameraman, monteur, réalisateur, animateur et régisseur de théâtre à Lausanne
    • Nora Rupp
      Nora Rupp (1981), vit et travaille à Lausanne en suisse. Elle a étudié la photographie à l’École d’Arts Appliqués de Vevey. Depuis plus de dix ans, Nora Rupp développe et expose divers projets photographiques.
    • Bernadette Richard
      Écrivaine prolifique, Bernadette Richard est née à La Chaux-de-Fonds, où elle a passé une enfance malheureuse et une adolescence calamiteuse. Elle veut entrer dans la presse, sa famille l’en dissuade, devient bibliothécaire, alors qu’elle veut être journaliste.
    • Michel Beretti
      Michel Beretti est philosophe et linguiste de formation (Université de Genève), est l’auteur de nombreux textes, pièces, adaptations, traductions et livrets d’opéra, représentés en Europe et en Afrique. Ses pièces sont souvent précédées d’enquêtes d’immersion sur le terrain ou dans les archives.
    • Pascal Nordmann
      Pascal Nordmann a vécu entre Genève, Paris et Detmold, dans le nord de l’Allemagne, où, en 1986, il fonde une compagnie de théâtre, le « Chairos Theater », qu’il dirige durant dix ans et pour laquelle il écrit des textes, met en scène et crée décors et accessoires.
    • Maoro Frascotti
      est né à La Chaux-de-Fonds en 1957. Il est le fils de Giovanni, propriétaire d’une entreprise de peinture en bâtiment et d’Albina, couturière.
    • Isabelle Guisan
      Isabelle Guisan est née à Lausanne, Suisse (nationalités suisse et grecque)
    • Pierre Gattoni
      Pierre Gattoni est né en 1958 à La Chaux-de-Fonds. D’une trajectoire éclectique, son travail artistique navigue entre les tempêtes des arts vivants tels que le théâtre et la marionnette et les rives plus solitaires et méditatives des arts graphiques.
    • Laurence Iseli
      Professionnelle du spectacle formée au Conservatoire d’art dramatique de Lausanne et universitaire, engagée depuis quinze ans comme metteur en scène et comédienne en Suisse romande.
    • Dominique Bourquin
      Née à Neuchâtel en 1950, licence en lettres – École du Totales Theater, Kazuo Ohno – plus de 40 ans de théâtre professionnel, deux ans de dramaturgie au Théâtre Populaire Romand et 20 ans de direction artistique du théâtre pour le moment.
    • Grégoire Müller
      Grégoire Müller est né à Morges le 23 février 1947, il termine sa maturité (latin – grec) au Collège de Saint-Maurice et quitte la Suisse pour s’établir à Paris en 1965. Il fréquente l’Académie de la Grande Chaumière, devient assistant de César et critique d’art dès 1966. Il vit les événements de mai 68, rejoint New-York en 1969 et commence son parcours américain.
    • Pascal Bourquin
      est né en 1970 à Southampton (GB), il vit et travaille à La Chaux-de-Fonds après avoir grandi à Saignelégier. Cet artiste est diplômé de l’EAA de La Chaux-de-Fonds en 1993.
    • Aurore Faivre
      Après sa formation à l’école Les Teintureries à Lausanne (2011-2014) Aurore Faivre crée la Cie Balor avec Lucas Schlaepfer, plasticien.
    • Blaise Froidevaux
      Blaise Froidevaux est né à La Chaux-de-Fonds en 1961 et vit à Neuchâtel depuis 1998. Il travaille comme comédien, scénographe et metteur en scène.
    • Roberto Romano
      Roberto Romano est né et a grandi dans le canton de Neuchâtel, Suisse. Photographe autodidacte depuis le début des années 1990, il se plaît à jouer avec les contraintes et les temporalités propres à la photographie argentique.
    • Rolf Blaser
      Rolf Blaser est né le 13 mars 1961 à Soleure. Il a vécu à La Chaux-de-Fonds depuis 1988 où il a travaillé comme peintre et dessinateur. Il nous a quitté le 25 mars 2024.
    • Isabelle Meyer
      Isabelle Meyer habite à La Chaux-de-Fonds en Suisse. Elle a suivi différents stages de formation au Théâtre de l’Opprimé à Paris entre 1977 et 1980 et a participé à de nombreuses aventures théâtrales dans le canton de Neuchâtel.
    • Yves Robert
      habite La Chaux-de-Fonds en Suisse. Il est l’auteur de vingt pièces de théâtre, ainsi que deux adaptations de romans destinées à la scène.
    • Samuel Grilli
      Samuel Grilli apprend le métier de comédien au Conservatoire de Lausanne où il obtient, en 1993, un premier prix d’interprétation au concours de sortie.

  • le livre des tempêtes

    le livre des tempêtes

    En Sibérie la guerre civile fait rage; un enfant échappe à la mort; il croise le regard d’une prostituée et se retrouve parmi les bagages de l’armée française. Commencent pour lui les apprentissages : la langue et le travail. Commence un parcours qui le mène de Tientsin en Chine jusque sur les côtes de France, par une nuit de tempêtes, une nuit froide et terrible de l’automne 1941. Et dans ces ténèbres, il y a du vent, des étoiles brisées, de la musique et des fantômes, de la mémoire, des âmes perdues, des lumières sombres et des restes de métal éclatants : de l’or. C’est la vie d’un homme avec ses bourrasques, ses joies, ses plaisirs, son courage, ses malheurs, ses effondrements et sa fin.

    couverture

    . .

    description

    postface Philippe Renaud | maquette Géraldine Cavalli | impression Montagna imprimeurs | format 19X12 cm | nombre de pages 160 | 2008

    un extrait – prologue

    Edgar : Les ténèbres… Il sera difficile de lire…

    Les voix du monde : Nous prions pour les douze hommes en mer ; entrés dans la tempête et la nuit.

    Edgar : Le feu ! Je n’ai plus de feu… Qu’est-ce que je fais là ?

    Les voix du monde : C’est toi qui sais.

    Edgar : Le ciel ! Les étoiles se sont brisées.

    Les voix du monde : C’est sous la terre, dans une cave. C’est dans une cellule de la Kommandantur.

    Edgar : Le froid… La chaleur est perdue, le corps se recroqueville, parfois l’esprit revient.

    Les voix du monde : Regarde autour de toi… Les murs sont gris, auréolés de salpêtre. Il y a un grillage d’aération avec un vent glacial.

    Edgar : Je veux regarder plus loin, tant qu’il me reste du temps. Je veux, dans mes souvenirs, retrouver son odeur… Mais, j’ai presque tout oublié…

    Les voix du monde : Nous sommes là, pour cela. Nous sommes là, pour ta mémoire.

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  • Thisbé et Pyrame

    Thisbé et Pyrame

    14 novembre 2008 – le Cellier de Marianne – Le Locle

  • le livre des tempêtes

    le livre des tempêtes

    8 novembre 2008 à 20h30 – Théâtre du Pommier – Neuchâtel

  • le livre des tempêtes

    le livre des tempêtes

    7 novembre 2008 à 20h30 – Théâtre du Pommier – Neuchâtel

  • le livre des tempêtes

    le livre des tempêtes

    6 novembre 2008 à 19h – Théâtre de L’Échandole – Yverdon

  • le livre des tempêtes

    le livre des tempêtes

    5 novembre 2008 à 19h – Théâtre de L’Échandole – Yverdon

  • le livre des tempêtes

    le livre des tempêtes

    3 novembre 2008 à 18h30 – bibliothèque publique – Yverdon

  • le livre des tempêtes

    le livre des tempêtes

    31 octobre 2008 à 20h30 – Kulturtäter – Bienne

  • le livre des tempêtes

    le livre des tempêtes

    28 septembre 2008 à 17h30 – Petithéâtre – Sion

  • le livre des tempêtes

    le livre des tempêtes

    27 septembre 2008 à 20h – Petithéâtre – Sion

  • le livre des tempêtes

    le livre des tempêtes

    26 septembre 2008 à 20h30 – Petithéâtre – Sion

  • le livre des tempêtes

    le livre des tempêtes

    23 septembre 2008 à 20h – Petithéâtre – Sion

  • le livre des tempêtes

    le livre des tempêtes

    21 septembre 2008 à 17h30 – Petithéâtre – Sion

  • le livre des tempêtes

    le livre des tempêtes

    20 septembre 2008 à 20h – Petithéâtre – Sion

  • le livre des tempêtes

    le livre des tempêtes

    19 septembre 2008 à 20h30 – Petithéâtre – Sion

  • le livre des tempêtes

    le livre des tempêtes

    18 septembre 2008 à 20h – Petithéâtre – Sion

  • le livre des tempêtes

    le livre des tempêtes

    14 septembre 2008 à 17h30 – Petithéâtre – Sion

  • le livre des tempêtes

    le livre des tempêtes

    13 septembre 2008 à 20h30 – Petithéâtre – Sion

  • le livre des tempêtes

    le livre des tempêtes

    12 septembre 2008 à 20h – Petithéâtre – Sion

  • le livre des tempêtes

    le livre des tempêtes

    En Sibérie la guerre civile fait rage; un enfant échappe à la mort; il croise le regard d’une prostituée et se retrouve parmi les bagages de l’armée française. Commencent pour lui les apprentissages: la langue et le travail; commence un parcours qui le mène de Tientsin en Chine jusque sur les côtes de France, par une nuit de tempêtes, une nuit froide et terrible de l’automne 1941. Et dans ces ténèbres, il y a du vent, des étoiles brisées, de la musique et des fantômes, de la mémoire, des âmes perdues, des lumières sombres et des restes de métal éclatants; de l’or. C’est la vie d’un homme avec ses bourrasques, ses joies, ses plaisirs, son courage, ses malheurs, ses effondrements et sa fin.

    extrait

    Edgar : Les ténèbres… Il sera difficile de lire…

    Les voix du monde : Nous prions pour les douze hommes en mer ; entrés dans la tempête et la nuit.

    Edgar : Le feu ! Je n’ai plus de feu… Qu’est-ce que je fais là ?

    Les voix du monde : C’est toi qui sais.

    Edgar : Le ciel ! Les étoiles se sont brisées.

    Les voix du monde : C’est sous la terre, dans une cave. C’est dans une cellule de la Kommandantur.

    Edgar : Le froid… La chaleur est perdue, le corps se recroqueville, parfois l’esprit revient.

    Les voix du monde : Regarde autour de toi… Les murs sont gris, auréolés de salpêtre. Il y a un grillage d’aération avec un vent glacial.

    Edgar : Je veux regarder plus loin, tant qu’il me reste du temps. Je veux, dans mes souvenirs, retrouver son odeur… Mais, j’ai presque tout oublié…

    Les voix du monde : Nous sommes là, pour cela. Nous sommes là, pour ta mémoire.

    couverture

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    description des cahiers

    texte intégral / Atelier Grand Cargo / cahier format A5 / reliure centrale avec deux agrafes / papier blanc 80 à 100 gr. / CHF 5.– pcs.

    une version « deluxe » sur papier spécial est disponible sur demande : CHF 8.–

    envoi par poste pour la Suisse

    formulaire de commande

  • le livre des tempêtes

    le livre des tempêtes

    11 septembre 2008 à 20h – Petithéâtre – Sion

  • le livre des tempêtes

    le livre des tempêtes

    En Sibérie la guerre civile fait rage; un enfant échappe à la mort; il croise le regard d’une prostituée et se retrouve parmi les bagages de l’armée française. Commencent pour lui les apprentissages: la langue et le travail; commence un parcours qui le mène de Tientsin en Chine jusque sur les côtes de France, par une nuit de tempêtes, une nuit froide et terrible de l’automne 1941. Et dans ces ténèbres, il y a du vent, des étoiles brisées, de la musique et des fantômes, de la mémoire, des âmes perdues, des lumières sombres et des restes de métal éclatants; de l’or. C’est la vie d’un homme avec ses bourrasques, ses joies, ses plaisirs, son courage, ses malheurs, ses effondrements et sa fin.

    extrait

    Edgar : Ich suche das Haus von Herrn Heinrich Furtwängler, das Haus von Herrn Heinrich Furtwängler, bitte ?

    Les voix du monde : Tant de briques, un labyrinthe. Rostock, un port sur la Baltique. Les cathédrales rouges, des flèches enfoncées dans le cœur du ciel. Des nuages trop bas, une terre plate où se confond la mer avec les cultures d’orges.

    Edgar : Ce mal, rien ne l’apaise.

    Les voix du monde : Reste concentré. Das Haus mit einer blauen Linie aus Ziegelsteinen über der Tür. Rostock, 1932. Une maison avec une ligne de briques bleues au-dessus de la porte.

    Edgar : Herr Furtwängler ?

    Heinrich Furtwängler :  Herr Amiot ? Junger Amiot, le jeune Amiot… Rien ne vous oblige à garder votre valise, posez-la… Votre chambre est à l’étage. Sara a préparé un café sucré avec du lait, dans le salon. Vous nous retrouverez, je vous présenterai Sara. Je parle français, ça vous va ? Votre chambre est à l’étage, une porte bleue avec un canard dessiné sur le « plastron ». De la fenêtre, vous pouvez apercevoir la digue, elle protège de la mer… Montez, Montez… Mon français va ? Toujours autant de jonques sur le Grand Canal ? Toujours les femmes avec les lanternes, à petits pas, comme des canards ? Je l’ai un peu perdu, je n’ai plus parlé français depuis 18… Mon français va ? Ne répondez pas , racontez tout au salon, avec le café, je vous présenterai Sara. Le maître de l’or s’habille-t-il toujours à l’anglaise ? Ces affreux costumes de la concession ?

    Sara : Montez dans la chambre, Monsieur Amiot, il ne vous laissera pas tranquille… Je suis Sara, il nous présentera après, au café, montez, je vous dis.

    Les voix du monde : Il pleure.

    publications

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    cahier du Grand Cargo

    texte intégral

    cahier format A5

    reliure centrale avec deux agrafes

    papier blanc 80 à 100 gr.

    CHF 5.– pcs.

    envoi par poste pour la Suisse – étranger sur demande

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    Éditions Les Petites Lessiveries

    postface Philippe Renaud

    maquette Géraldine Cavalli

    Impression Montagna imprimeurs

    format 19X12 cm – Nb de pages 160

    envoi par poste pour la Suisse – étranger sur demande

    distribution

    Texte Yves Robert
    Mise en scène Julien Barroche
    Jeu Christine Chalard, Olivia Seigne, Fred Mudry, Mathias Glayre et Daniel Wolf
    Scénographie Jean-Claude Maret
    Lumière José-Manuel Ruiz
    Costumes Janick Nardin et Caroline Chollet
    Coatching vocal Gaëlle Graf
    Administration Jean-Yves Zufferey

    Photographies Linda Pfammatter

    création au Petithéâtre de Sion le 11 septembre 2008 / Production Cie Gaspard – Sion / Partenariat Cie Fantôme

    presse

    Yves Robert raconte le voyage houleux vers un choix d’humanité

    «Le livre des tempêtes», pièce du Chaux-de-Fonnier Yves Robert, sera vendredi et samedi au théâtre du Pommier, à Neuchâtel. Sur fond historique, un travail sur la mémoire et son influence sur le cheminement vers la conscience.

    «J’aime utiliser l’Histoire comme décor. Cela permet de faire évoluer les personnages, de les soumettre à des pressions qu’on ne trouve pas forcément d’ordinaire». L’auteur et dramaturge Yves Robert signe en effet une troisième pièce, «Le livre des tempêtes», dont le personnage central traverse une période houleuse de l’Histoire, de la guerre civile en Sibérie à la 2e Guerre mondiale. Mise en scène par Julien Barroche, elle sera interprétée par la compagnie valaisanne Gaspard vendredi et samedi, au théâtre du Pommier à Neuchâtel.
    Créée en septembre à Sion, la pièce «Le livre des tempêtes» s’est écrite dans une optique d’échange avec la compagnie Gaspard et le metteur en scène. «C’était un peu un travail de ping-pong. Je présentais mes textes de façon régulière à la compagnie. J’avais ainsi accès à de premières réactions, et je pouvais aussi nourrir mon texte par rapport à la voix des acteurs», raconte Yves Robert. «Mais l’écriture est restée mon domaine».

    Une forme d’écriture théâtrale que l’auteur Philippe Renaud dans sa postface du «Livre des tempêtes» rapproche plus du roman, du conte. Chez Yves Robert, point d’actes ou de scènes, mais des parties titrées. «Je suis tout à fait d’accord avec Philippe Renaud. Pour moi, le théâtre n’est pas un système cloisonné, avec des justes et des faux: ce sont des expressions différentes. A partir du moment où on est sur scène avec du verbe et de l’action, c’est du théâtre». Le style est lui empreint de poésie: «Les étoiles se sont brisées, du verre scintillant, éparpillé». Un principe auquel tient Yves Robert: «Par la poésie, j’ouvre des images incomplètes, comme si je donnais au spectateur des grilles de mots croisés à moitié remplies. Cela le rend attentif et déductif».

    L’histoire, elle, est construite autour d’Edgar, le personnage principal, «un homme banal qui traverse une période extraordinaire», commente Yves Robert. La pièce suit sa trajectoire au fil de ses rencontres, de ses déplacements de Sibérie en Chine, en Allemagne, puis en France. Avec en toile de fond, la montée du nazisme. «Edgar devient un personnage amoral. Il vit dans l’insouciance, dans une collaboration de la tranquillité», explique l’auteur. Jusqu’à un point de non-retour, où cette insouciance infantile fait place à une prise de conscience d’adulte. «Il me fallait un moment historique cataclysmique, comme l’automne de 1941, où l’Allemagne est toute puissante, pour l’amener à un choix. Et il fait un choix d’humanité».

    Mais ce n’est là que l’une des lectures possibles du «Livre des tempêtes». Au thème de la mémoire s’adjoint, par exemple celui du livre en soi. Il est lui aussi un vecteur de la mémoire, collective ou personnelle, ce qu’Edgar découvre peu à peu. «Mais il y a aussi la transmission par le spectacle», note Yves Robert. Dans la pièce, Edgar possède lui-même un livre des tempêtes. Mais il n’écrit pas son histoire: les pages restent blanches. «C’est au spectateur de transcrire et de transmettre l’histoire», conclut Yves Robert. /ANC

    soutiens et partenaires

  • la femme qui tenait un homme en laisse

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    15 mars 2008 à 21h – Espace Guinguette – Vevey

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    14 mars 2008 à 21h – Espace Guinguette – Vevey

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    13 mars 2008 à 21h – Espace Guinguette – Vevey

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    8 mars 2008 à 21h – Espace Guinguette – Vevey

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    7 mars 2008 à 21h – Espace Guinguette – Vevey

  • la femme qui tenait un homme en laisse 

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    L’Hebdo

    Tragédie réelle.

    Août 2004. Une photographie fait le tour de la planète. Sur le cliché, une jeune femme soldat américaine avec une laisse. Au bout de la corde, un prisonnier irakien nu, humilié, rampant sous les ordres de son bourreau. Le monde est attérré. On parle alors du scandale d’Abou Ghraïb. Le neuchâtelois Yves Robert en fait un monologue puissant, creusant au-delà le “news CNN”, et tentant de recomposer les blessures, les manques, les frustatrations derrière le “fait divers”, avec toutes ses nuances et ses aspérités. Loin du politiquement correct, le spectacle – tout de sobriété et interprété magnifiquement par Christine Chalard-Mühlemann, mise en scène par Julien Barroche – est une pure merveille de justesse, d’intelligence et d’humanité.

    Anne-Sylvie Sprenger

  • la femme qui tenait un homme en laisse 

    la femme qui tenait un homme en laisse 

    24 heures

    Une fiction brillamment écrite par Yves Robert, sobrement mise en scène par Julien Barroche et, surtout, magistralement interprétée par Christine Chalard-Mülhemann. Une comédienne capable de décliner une multitude d’émotions avec une justesse aussi rare qu’infaillible. Un pari largement relevé tant l’on ressort de cette pièce ébranlé.

    Raphaël Muriset

  • la mort de Vladimir

    la mort de Vladimir

    2 février 2008 à 11h – Librairie Fahrenheit 451 – Yverdon

  • la femme qui tenait un homme en laisse

    la femme qui tenait un homme en laisse

    1er décembre 2007 à 17h30 – Théâtre Ça respire –encore – Nancy

  • la femme qui tenait un homme en laisse

    la femme qui tenait un homme en laisse

    30 novembre 2007 à 20h30 – Théâtre Ça respire –encore – Nancy

  • la femme qui tenait un homme en laisse

    la femme qui tenait un homme en laisse

    29 novembre 2007 à 20h30 – Théâtre Ça respire –encore – Nancy

  • la femme qui tenait un homme en laisse

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    29 novembre 2007 à 20h30 – Théâtre Ça respire –encore – Nancy

  • la mort de Vladimir

    la mort de Vladimir

    26 novembre 2007 à 20h30 – Théâtre Ça respire encore – Nancy

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    24 novembre 2007 à 20h30 – Théâtre Ça respire –encore – Nancy

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    23 novembre 2007 à 20h30 – Théâtre Ça respire –encore – Nancy

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    22 novembre 2007 à 20h30 – Théâtre Ça respire –encore – Nancy

  • Antigone emmurée

    le 21 novembre 2007 à 19h essai lecture – Librairie L’autre rive – Nancy

  • la femme qui tenait un homme en laisse

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    20 novembre 2007 – lecture étudiants Fac de Nancy2 – Nancy

  • Thisbé et Pyrame

    Thisbé et Pyrame

    19 novembre 2007 – Fac de Nancy2 – Nancy (annulé pour cause de grève)

  • la femme qui tenait un homme en laisse

    la femme qui tenait un homme en laisse

    21 septembre 2007 à 20h30 – Théâtre de Poche– Bienne

  • Madame Bouh !

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    8 juillet 2007 – Festival de la Cité Petit Théâtre – Lausanne

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    7 juillet 2007 – Festival de la Cité Petit Théâtre – Lausanne