Auteur/autrice : Yves Robert
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biographies
- Yann BétantNé en 1978 à Lausanne (Suisse). Formation à l’École de Théâtre Lassaad, Bruxelles. Formation comme réalisateur à l’IAD (Institut des Arts de Diffusion), Louvain-La-Neuve. Travaille en tant que cameraman, monteur, réalisateur, animateur et régisseur de théâtre à Lausanne
- Nora RuppNora Rupp (1981), vit et travaille à Lausanne en suisse. Elle a étudié la photographie à l’École d’Arts Appliqués de Vevey. Depuis plus de dix ans, Nora Rupp développe et expose divers projets photographiques.
- Bernadette RichardÉcrivaine prolifique, Bernadette Richard est née à La Chaux-de-Fonds, où elle a passé une enfance malheureuse et une adolescence calamiteuse. Elle veut entrer dans la presse, sa famille l’en dissuade, devient bibliothécaire, alors qu’elle veut être journaliste.
- Michel BerettiMichel Beretti est philosophe et linguiste de formation (Université de Genève), est l’auteur de nombreux textes, pièces, adaptations, traductions et livrets d’opéra, représentés en Europe et en Afrique. Ses pièces sont souvent précédées d’enquêtes d’immersion sur le terrain ou dans les archives.
- Pascal NordmannPascal Nordmann a vécu entre Genève, Paris et Detmold, dans le nord de l’Allemagne, où, en 1986, il fonde une compagnie de théâtre, le « Chairos Theater », qu’il dirige durant dix ans et pour laquelle il écrit des textes, met en scène et crée décors et accessoires.
- Maoro Frascottiest né à La Chaux-de-Fonds en 1957. Il est le fils de Giovanni, propriétaire d’une entreprise de peinture en bâtiment et d’Albina, couturière.
- Isabelle GuisanIsabelle Guisan est née à Lausanne, Suisse (nationalités suisse et grecque)
- Pierre GattoniPierre Gattoni est né en 1958 à La Chaux-de-Fonds. D’une trajectoire éclectique, son travail artistique navigue entre les tempêtes des arts vivants tels que le théâtre et la marionnette et les rives plus solitaires et méditatives des arts graphiques.
- Laurence IseliProfessionnelle du spectacle formée au Conservatoire d’art dramatique de Lausanne et universitaire, engagée depuis quinze ans comme metteur en scène et comédienne en Suisse romande.
- Dominique BourquinNée à Neuchâtel en 1950, licence en lettres – École du Totales Theater, Kazuo Ohno – plus de 40 ans de théâtre professionnel, deux ans de dramaturgie au Théâtre Populaire Romand et 20 ans de direction artistique du théâtre pour le moment.
- Grégoire MüllerGrégoire Müller est né à Morges le 23 février 1947, il termine sa maturité (latin – grec) au Collège de Saint-Maurice et quitte la Suisse pour s’établir à Paris en 1965. Il fréquente l’Académie de la Grande Chaumière, devient assistant de César et critique d’art dès 1966. Il vit les événements de mai 68, rejoint New-York en 1969 et commence son parcours américain.
- Pascal Bourquinest né en 1970 à Southampton (GB), il vit et travaille à La Chaux-de-Fonds après avoir grandi à Saignelégier. Cet artiste est diplômé de l’EAA de La Chaux-de-Fonds en 1993.
- Aurore FaivreAprès sa formation à l’école Les Teintureries à Lausanne (2011-2014) Aurore Faivre crée la Cie Balor avec Lucas Schlaepfer, plasticien.
- Blaise FroidevauxBlaise Froidevaux est né à La Chaux-de-Fonds en 1961 et vit à Neuchâtel depuis 1998. Il travaille comme comédien, scénographe et metteur en scène.
- Roberto RomanoRoberto Romano est né et a grandi dans le canton de Neuchâtel, Suisse. Photographe autodidacte depuis le début des années 1990, il se plaît à jouer avec les contraintes et les temporalités propres à la photographie argentique.
- Rolf BlaserRolf Blaser est né le 13 mars 1961 à Soleure. Il a vécu à La Chaux-de-Fonds depuis 1988 où il a travaillé comme peintre et dessinateur. Il nous a quitté le 25 mars 2024.
- Isabelle MeyerIsabelle Meyer habite à La Chaux-de-Fonds en Suisse. Elle a suivi différents stages de formation au Théâtre de l’Opprimé à Paris entre 1977 et 1980 et a participé à de nombreuses aventures théâtrales dans le canton de Neuchâtel.
- Yves Roberthabite La Chaux-de-Fonds en Suisse. Il est l’auteur de vingt pièces de théâtre, ainsi que deux adaptations de romans destinées à la scène.
- Samuel GrilliSamuel Grilli apprend le métier de comédien au Conservatoire de Lausanne où il obtient, en 1993, un premier prix d’interprétation au concours de sortie.
- Yann Bétant
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le livre des tempêtes
En Sibérie la guerre civile fait rage; un enfant échappe à la mort; il croise le regard d’une prostituée et se retrouve parmi les bagages de l’armée française. Commencent pour lui les apprentissages : la langue et le travail. Commence un parcours qui le mène de Tientsin en Chine jusque sur les côtes de France, par une nuit de tempêtes, une nuit froide et terrible de l’automne 1941. Et dans ces ténèbres, il y a du vent, des étoiles brisées, de la musique et des fantômes, de la mémoire, des âmes perdues, des lumières sombres et des restes de métal éclatants : de l’or. C’est la vie d’un homme avec ses bourrasques, ses joies, ses plaisirs, son courage, ses malheurs, ses effondrements et sa fin.
couverture

description
postface Philippe Renaud | maquette Géraldine Cavalli | impression Montagna imprimeurs | format 19X12 cm | nombre de pages 160 | 2008
un extrait – prologue
Edgar : Les ténèbres… Il sera difficile de lire…
Les voix du monde : Nous prions pour les douze hommes en mer ; entrés dans la tempête et la nuit.
Edgar : Le feu ! Je n’ai plus de feu… Qu’est-ce que je fais là ?
Les voix du monde : C’est toi qui sais.
Edgar : Le ciel ! Les étoiles se sont brisées.
Les voix du monde : C’est sous la terre, dans une cave. C’est dans une cellule de la Kommandantur.
Edgar : Le froid… La chaleur est perdue, le corps se recroqueville, parfois l’esprit revient.
Les voix du monde : Regarde autour de toi… Les murs sont gris, auréolés de salpêtre. Il y a un grillage d’aération avec un vent glacial.
Edgar : Je veux regarder plus loin, tant qu’il me reste du temps. Je veux, dans mes souvenirs, retrouver son odeur… Mais, j’ai presque tout oublié…
Les voix du monde : Nous sommes là, pour cela. Nous sommes là, pour ta mémoire.
formulaire de commande
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le livre des tempêtes
En Sibérie la guerre civile fait rage; un enfant échappe à la mort; il croise le regard d’une prostituée et se retrouve parmi les bagages de l’armée française. Commencent pour lui les apprentissages: la langue et le travail; commence un parcours qui le mène de Tientsin en Chine jusque sur les côtes de France, par une nuit de tempêtes, une nuit froide et terrible de l’automne 1941. Et dans ces ténèbres, il y a du vent, des étoiles brisées, de la musique et des fantômes, de la mémoire, des âmes perdues, des lumières sombres et des restes de métal éclatants; de l’or. C’est la vie d’un homme avec ses bourrasques, ses joies, ses plaisirs, son courage, ses malheurs, ses effondrements et sa fin.
extrait
Edgar : Les ténèbres… Il sera difficile de lire…
Les voix du monde : Nous prions pour les douze hommes en mer ; entrés dans la tempête et la nuit.
Edgar : Le feu ! Je n’ai plus de feu… Qu’est-ce que je fais là ?
Les voix du monde : C’est toi qui sais.
Edgar : Le ciel ! Les étoiles se sont brisées.
Les voix du monde : C’est sous la terre, dans une cave. C’est dans une cellule de la Kommandantur.
Edgar : Le froid… La chaleur est perdue, le corps se recroqueville, parfois l’esprit revient.
Les voix du monde : Regarde autour de toi… Les murs sont gris, auréolés de salpêtre. Il y a un grillage d’aération avec un vent glacial.
Edgar : Je veux regarder plus loin, tant qu’il me reste du temps. Je veux, dans mes souvenirs, retrouver son odeur… Mais, j’ai presque tout oublié…
Les voix du monde : Nous sommes là, pour cela. Nous sommes là, pour ta mémoire.
couverture

description des cahiers
texte intégral / Atelier Grand Cargo / cahier format A5 / reliure centrale avec deux agrafes / papier blanc 80 à 100 gr. / CHF 5.– pcs.
une version « deluxe » sur papier spécial est disponible sur demande : CHF 8.–
envoi par poste pour la Suisse
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tous les cahiers
- René Gori et l’amour derrière les clapotis
- l’essoufflement de l’ange
- le journal du silence
- mille nuits ou regarder les grenouilles nager ♀︎
- mille nuits ou regarder les grenouilles nager ♂︎
- le lieutenant de guerre
- la rivière à la mer
- Niobé, un matin
- l’île mystérieuse
- l’étoile du nord
- dernière nouvelle de juillet
- patronne et domestique
- les Indes noires
- le livre des tempêtes
- madame Bouh !
- la femme qui tenait un homme en laisse
- Thisbé et Pyrame
- la mort de Vladimir
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le livre des tempêtes
En Sibérie la guerre civile fait rage; un enfant échappe à la mort; il croise le regard d’une prostituée et se retrouve parmi les bagages de l’armée française. Commencent pour lui les apprentissages: la langue et le travail; commence un parcours qui le mène de Tientsin en Chine jusque sur les côtes de France, par une nuit de tempêtes, une nuit froide et terrible de l’automne 1941. Et dans ces ténèbres, il y a du vent, des étoiles brisées, de la musique et des fantômes, de la mémoire, des âmes perdues, des lumières sombres et des restes de métal éclatants; de l’or. C’est la vie d’un homme avec ses bourrasques, ses joies, ses plaisirs, son courage, ses malheurs, ses effondrements et sa fin.
extrait
Edgar : Ich suche das Haus von Herrn Heinrich Furtwängler, das Haus von Herrn Heinrich Furtwängler, bitte ?
Les voix du monde : Tant de briques, un labyrinthe. Rostock, un port sur la Baltique. Les cathédrales rouges, des flèches enfoncées dans le cœur du ciel. Des nuages trop bas, une terre plate où se confond la mer avec les cultures d’orges.
Edgar : Ce mal, rien ne l’apaise.
Les voix du monde : Reste concentré. Das Haus mit einer blauen Linie aus Ziegelsteinen über der Tür. Rostock, 1932. Une maison avec une ligne de briques bleues au-dessus de la porte.
Edgar : Herr Furtwängler ?
Heinrich Furtwängler : Herr Amiot ? Junger Amiot, le jeune Amiot… Rien ne vous oblige à garder votre valise, posez-la… Votre chambre est à l’étage. Sara a préparé un café sucré avec du lait, dans le salon. Vous nous retrouverez, je vous présenterai Sara. Je parle français, ça vous va ? Votre chambre est à l’étage, une porte bleue avec un canard dessiné sur le « plastron ». De la fenêtre, vous pouvez apercevoir la digue, elle protège de la mer… Montez, Montez… Mon français va ? Toujours autant de jonques sur le Grand Canal ? Toujours les femmes avec les lanternes, à petits pas, comme des canards ? Je l’ai un peu perdu, je n’ai plus parlé français depuis 18… Mon français va ? Ne répondez pas , racontez tout au salon, avec le café, je vous présenterai Sara. Le maître de l’or s’habille-t-il toujours à l’anglaise ? Ces affreux costumes de la concession ?
Sara : Montez dans la chambre, Monsieur Amiot, il ne vous laissera pas tranquille… Je suis Sara, il nous présentera après, au café, montez, je vous dis.
Les voix du monde : Il pleure.

publications
cahier du Grand Cargo
texte intégral
cahier format A5
reliure centrale avec deux agrafes
papier blanc 80 à 100 gr.
CHF 5.– pcs.
envoi par poste pour la Suisse – étranger sur demande
distribution
Texte Yves Robert
Mise en scène Julien Barroche
Jeu Christine Chalard, Olivia Seigne, Fred Mudry, Mathias Glayre et Daniel Wolf
Scénographie Jean-Claude Maret
Lumière José-Manuel Ruiz
Costumes Janick Nardin et Caroline Chollet
Coatching vocal Gaëlle Graf
Administration Jean-Yves ZuffereyPhotographies Linda Pfammatter
création au Petithéâtre de Sion le 11 septembre 2008 / Production Cie Gaspard – Sion / Partenariat Cie Fantôme
presse
Yves Robert raconte le voyage houleux vers un choix d’humanité
«Le livre des tempêtes», pièce du Chaux-de-Fonnier Yves Robert, sera vendredi et samedi au théâtre du Pommier, à Neuchâtel. Sur fond historique, un travail sur la mémoire et son influence sur le cheminement vers la conscience.
«J’aime utiliser l’Histoire comme décor. Cela permet de faire évoluer les personnages, de les soumettre à des pressions qu’on ne trouve pas forcément d’ordinaire». L’auteur et dramaturge Yves Robert signe en effet une troisième pièce, «Le livre des tempêtes», dont le personnage central traverse une période houleuse de l’Histoire, de la guerre civile en Sibérie à la 2e Guerre mondiale. Mise en scène par Julien Barroche, elle sera interprétée par la compagnie valaisanne Gaspard vendredi et samedi, au théâtre du Pommier à Neuchâtel.
Créée en septembre à Sion, la pièce «Le livre des tempêtes» s’est écrite dans une optique d’échange avec la compagnie Gaspard et le metteur en scène. «C’était un peu un travail de ping-pong. Je présentais mes textes de façon régulière à la compagnie. J’avais ainsi accès à de premières réactions, et je pouvais aussi nourrir mon texte par rapport à la voix des acteurs», raconte Yves Robert. «Mais l’écriture est restée mon domaine».Une forme d’écriture théâtrale que l’auteur Philippe Renaud dans sa postface du «Livre des tempêtes» rapproche plus du roman, du conte. Chez Yves Robert, point d’actes ou de scènes, mais des parties titrées. «Je suis tout à fait d’accord avec Philippe Renaud. Pour moi, le théâtre n’est pas un système cloisonné, avec des justes et des faux: ce sont des expressions différentes. A partir du moment où on est sur scène avec du verbe et de l’action, c’est du théâtre». Le style est lui empreint de poésie: «Les étoiles se sont brisées, du verre scintillant, éparpillé». Un principe auquel tient Yves Robert: «Par la poésie, j’ouvre des images incomplètes, comme si je donnais au spectateur des grilles de mots croisés à moitié remplies. Cela le rend attentif et déductif».
L’histoire, elle, est construite autour d’Edgar, le personnage principal, «un homme banal qui traverse une période extraordinaire», commente Yves Robert. La pièce suit sa trajectoire au fil de ses rencontres, de ses déplacements de Sibérie en Chine, en Allemagne, puis en France. Avec en toile de fond, la montée du nazisme. «Edgar devient un personnage amoral. Il vit dans l’insouciance, dans une collaboration de la tranquillité», explique l’auteur. Jusqu’à un point de non-retour, où cette insouciance infantile fait place à une prise de conscience d’adulte. «Il me fallait un moment historique cataclysmique, comme l’automne de 1941, où l’Allemagne est toute puissante, pour l’amener à un choix. Et il fait un choix d’humanité».
Mais ce n’est là que l’une des lectures possibles du «Livre des tempêtes». Au thème de la mémoire s’adjoint, par exemple celui du livre en soi. Il est lui aussi un vecteur de la mémoire, collective ou personnelle, ce qu’Edgar découvre peu à peu. «Mais il y a aussi la transmission par le spectacle», note Yves Robert. Dans la pièce, Edgar possède lui-même un livre des tempêtes. Mais il n’écrit pas son histoire: les pages restent blanches. «C’est au spectateur de transcrire et de transmettre l’histoire», conclut Yves Robert. /ANC

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le livre des tempêtes
En Sibérie la guerre civile fait rage, un enfant échappe à la mort, il croise le regard d’une prostituée et se retrouve parmi les bagages de l’armée française.
liste des pièces à lire
- où vont les paroles quand le vent les emporte ?
- hibakushas oppenheimer
- l’essoufflement de l’ange
- tenir la main tiède de la femme endormie
- le journal du silence
- mille nuits ou regarder les grenouilles nager ♀︎
- mille nuits ou regarder les grenouilles nager ♂︎
- Niobé, un matin
- le lieutenant de guerre
- l’île mystérieuse
- l’étoile du Nord
- dernière nouvelle de juillet
- patronne et domestique
- les Indes noires dans les mines d’asphalte
- le livre des tempêtes
- madame Bouh !
- La femme qui tenait un homme en laisse
- Thisbé et Pyrame
- la mort de Vladimir
traductions
information importante
les textes sont libres d’accès pour la lecture individuelle et privée – une demande d’autorisation est indispensable pour toute autre utilisation
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la femme qui tenait un homme en laisse
L’Hebdo
Tragédie réelle.
Août 2004. Une photographie fait le tour de la planète. Sur le cliché, une jeune femme soldat américaine avec une laisse. Au bout de la corde, un prisonnier irakien nu, humilié, rampant sous les ordres de son bourreau. Le monde est attérré. On parle alors du scandale d’Abou Ghraïb. Le neuchâtelois Yves Robert en fait un monologue puissant, creusant au-delà le “news CNN”, et tentant de recomposer les blessures, les manques, les frustatrations derrière le “fait divers”, avec toutes ses nuances et ses aspérités. Loin du politiquement correct, le spectacle – tout de sobriété et interprété magnifiquement par Christine Chalard-Mühlemann, mise en scène par Julien Barroche – est une pure merveille de justesse, d’intelligence et d’humanité.
Anne-Sylvie Sprenger
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la femme qui tenait un homme en laisse
24 heures
Une fiction brillamment écrite par Yves Robert, sobrement mise en scène par Julien Barroche et, surtout, magistralement interprétée par Christine Chalard-Mülhemann. Une comédienne capable de décliner une multitude d’émotions avec une justesse aussi rare qu’infaillible. Un pari largement relevé tant l’on ressort de cette pièce ébranlé.
Raphaël Muriset
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presse
- Le journal le-Ô – à propos de René Gori
- une drôle de chronique
- le Grand Cargo à deux doigts du naufrage
- Magda et Tom, lecture – roman
- Hibakushas Oppenheimer
- le journal du silence
- le journal du silence
- Pierre Gattoni, posture
- la rivière à la mer
- le lieutenant de guerre
- l’Île mystérieuse avec La Poudrière
- mille nuits ou regarder les grenouilles nager
- l’étoile du nord
- Delphine et le rhinocéros
- à la dérobée
- pauvres riches
- le livre des tempêtes
- la femme qui tenait un homme en laisse
- la femme qui tenait un homme en laisse
- madame Bouh !
- la femme qui tenait un homme en laisse
- la femme qui tenait un homme en laisse
- la mort de Vladimir

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la femme qui tenait un homme en laisse
1er décembre 2007 à 17h30 – Théâtre Ça respire –encore – Nancy
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la femme qui tenait un homme en laisse
30 novembre 2007 à 20h30 – Théâtre Ça respire –encore – Nancy
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la femme qui tenait un homme en laisse
29 novembre 2007 à 20h30 – Théâtre Ça respire –encore – Nancy
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la femme qui tenait un homme en laisse
29 novembre 2007 à 20h30 – Théâtre Ça respire –encore – Nancy
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la femme qui tenait un homme en laisse
24 novembre 2007 à 20h30 – Théâtre Ça respire –encore – Nancy
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la femme qui tenait un homme en laisse
23 novembre 2007 à 20h30 – Théâtre Ça respire –encore – Nancy
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la femme qui tenait un homme en laisse
22 novembre 2007 à 20h30 – Théâtre Ça respire –encore – Nancy
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Antigone emmurée
le 21 novembre 2007 à 19h essai lecture – Librairie L’autre rive – Nancy


















































